A la merci de mon beau-frère Ch. 09
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... chauve. , chaque fois que je grognais ou gémissais sous les caresses de Richard, Yan se démenait dans ma bouche.
J'étais fortement soulagée en l'entendant se raidir et jouir, il était si enfoncé dans ma gorge que son sperme coulait directement dans mon oesophage.
Yan roula sur moi et se mit à me triturer les nibards, titillant durement mes mamelons avant de les sucer.
La langue de Richard avait abandonné mon clito et parcourait maintenant avidement ma foufoune détrempée, son nez qui frottait contre mon clito participait à m'exciter follement.
Désespérée, je sentais l'orgasme monter en moi. Je luttais de toutes mes forces pour endiguer ce coït non désiré me focalisant sur le fait que je détestais être touchée par ces minables.
Mon corps se foutait bien de savoir qui allumait ses sensations enivrantes, je perdais tout contrôle de mes sens, je m'arc-boutais sur les talons et me tortillais violemment en criant mon orgasme.
- "Elle est sacrément bruyante! ..." remarqua Richard, je me tortillais folle d'embarras haïssant mon corps de me trahir avec une telle constance.
- "Hey regarde moi ça, elle est rouge comme une tomate! ....".
Richard me força à écarter en grand mes cuisses qui tremblaient, jetant un oeil ravi sur ma foufoune détrempée.
- "C'est bon, je veux la baiser maintenant! ...."
- "D'accord mais enfile une capote! ..." lui rétorqua Yan.
- "On a fait un marché, rappelle-toi! ..."
J'étais soulagée de l'entendre mentionner l'emploi de ...
... préservatifs, mais j'étais affolée d'entendre que Yan avait décidé que Richard pourrait me faire tout ce qu'il voulait.
Mes sentiments étaient donc partagés lorsque je vis Richard sortir une capote et la lubrifier.
Il me roula sur le ventre les mains toujours ancrées par les menottes à la tête du lit. Il plaça ses genoux entre mes cuisses et me saisit fermement par les hanches pour me disposer à sa convenance.
Je ne compris ses intentions qu'en le sentant presser son gland contre mon petit oeillet frémissant, il était trop tard pour que je proteste et crispe mes sphincters.
Déjà il avait introduit son gland dans mon boyau culier, il exerça une forte pression pour s'enfouir lentement dans mon intestin asservi.
Je criais et hurlais, luttant pour lui échapper, mais il me tenait bien trop fermement, il se contenta de rire de mes vains efforts.
Je n'avais jamais ressenti de sensations semblables à celle-ci, il distendait allégrement mes muqueuses, c'était totalement différent de l'amour par les voix ordinaires.
Une fois qu'il s'eut enfoncé le plus profondément qu'il le put dans mon anus, il s'accorda une pause, je sentais mon fion s'adapter à cette brutale intrusion.
Je tentais d'endiguer mes gémissements refusant de leur montrer ma douleur et ma honte.
Comme je le craignais, j'avais bien du mal à supporter cette brutale enculade, Richard saisit mes hanches et roula sur le dos m'emmenant avec lui, toujours embrochée sur sa grosse pine.
Je soupirais ...