1. Comment je suis devenue femme (1)


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: inesexy, Source: Xstory

    ... me glissa l’homme à l’oreille.
    
    Je croisai alors pour la première fois son regard. Il avait les yeux perçants et je sus à cet instant que j’allais tout accepter de lui.
    
    Il dut le comprendre car il se mit à déboutonner ma robe. Je fermai aussitôt les yeux et laissai ma tête glisser en arrière sur son épaule en signe d’abandon total. Une fois qu’il avait ouvert ma robe jusqu’au nombril, il commença à me donner des ordres:
    
    — Retourne-toi et enlève ton soutien-gorge. Je m’exécutai immédiatement, comme une petite fille sage.
    
    — Tripote tes seins, je veux que tu les fasses pointer pour moi.
    
    Pendant que je me pinçais doucement la pointe des seins, il enleva sa veste, et baissa son pantalon.
    
    — Tu vois, je veux que tu me fasses bander. Alors applique-toi un peu !
    
    Je pris mes seins à pleines mains et les maltraitai un peu plus.
    
    — Voilà c’est pas mal ça ! M’encouragea-t-il, enlève ta robe complètement maintenant.
    
    Là encore, j’obéis instantanément. Je sentais que ma chatte devenait humide.
    
    Il enleva son caleçon, son sexe commençait à bander, je savais que c’était grâce à moi, et ça me rendit fière. Un sourire se dessina sur mes lèvres.
    
    — Haha tu aimes voir ma bite hein ! Petite cochonne, viens la mettre dans ta bouche.
    
    Je me mis à genoux et je pris cette bite inconnue. C’était la première fois que j’allais sucer une autre queue que celle de mon mari ! Cette idée m’excita beaucoup. Je fis de mon mieux pour sucer: des coups de langue autour du gland, des ...
    ... va-et-vient en variant la pression de mes lèvres. Mais apparemment, ça ne lui a pas suffi. Il prit ma tête à deux mains et commença à bouger son bassin. Il allait et venait dans ma bouche sans aucune douceur, il se servait de moi. Cette pensée m’excita énormément. Je fis de mon mieux pour ouvrir grand, qu’il puisse aller bien profond, qu’il puisse se faire bien plaisir. C’était dur, sa bite tapait le fond de ma bouche, j’avais les larmes aux yeux et je bavais. Mais lorsque je levai les yeux et que je voyais à quel point il prenait du plaisir, j’oubliai mes douleurs et je sentais ma chatte se gonfler de plaisir.
    
    Après plusieurs minutes à me baiser ainsi la bouche, il me releva, me retourna. J’étais au-dessus du lavabo, baissée devant lui, mon cul offert. Il baissa ma culotte sauvagement et glissa une main entre mes cuisses.
    
    — Tu mouilles bien, ça t’excite comme ça de me servir de vide couilles ?
    
    — Oui ça m’excite que vous vous serviez de moi comme ça.
    
    — C’est bien, tu es une bonne salope qui mérite d’être bien baisée.
    
    Sur ces mots, il m’envoya une claque énorme sur les fesses:
    
    — Ecarte tes jambes mieux que ça !
    
    Je m’exécutai aussitôt. Pour me remercier, il me donna une série de fessées. Je gémis de douleur mais la chaleur de ses claques me faisait mouiller encore davantage.
    
    A ce moment-là, un autre homme entra dans le bloc de sanitaire. Je me figeai de honte et de peur. Mais mon bourreau, lui, ne s’arrêta pas pour autant et me remit une volée de fessées ...