1. Comment je suis devenue femme (1)


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: inesexy, Source: Xstory

    Je m’appelle Sandrine, j’ai 28 ans. Sandrine est un prénom qui fait plutôt penser à une femme de 40 ans. C’est peut-être pour ça que j’ai toujours été un peu « vieux jeu ».
    
    J’ai passé mon adolescence dans un petit village de la campagne nantaise, où j’ai rencontré très jeune celui qui est devenu mon mari. J’ai vécu 10 ans de relatif bonheur, de 16 à 26 ans, avec lui. Une découverte du sexe en douceur, mais qui devint très vite répétitif et ennuyant.
    
    Quand mes amies me racontaient leurs plans cul d’un soir, leurs découvertes de la sodomie, leurs orgasmes ; je me sentais diminuée. Mon mari ne me faisait que rarement jouir, et jamais il ne me faisait l’amour autrement que dans la bonne vieille position du missionnaire. Plus le temps passait, moins je me sentais désirée. Du coup, je me laissais aller: plus de maquillage, et chaque jour, je portais le même uniforme jean baskets.
    
    Je sombrais petit à petit dans ma dépression jusqu’à ce jour incroyable de juin. Il faisait très chaud, j’étais en voiture sur l’autoroute vers Paris, seule. Je portais ma robe préférée, une robe légère, fermée par une série de boutons à l’avant et serrée à la taille par une ceinture nouée. Je faisais souvent ce trajet, et j’avais mes habitudes: une pause avant d’attaquer le périphérique parisien était une mes routines. Mais ce jour-là, j’étais perdue dans mes pensées. Aussi, j’oubliai de m’arrêter à la dernière aire d’autoroute « bien équipée » avant Paris. Par « bien équipée », je veux dire ...
    ... avec des toilettes propres, des machines à café et un snack où je pouvais m’acheter un cookie.
    
    Je m’arrêtai donc à l’aire suivante, une aire de très basse fréquentation malgré la proximité de la capitale. Il n’y avait qu’un bloc de sanitaires au milieu d’une étendue herbeuse. Adieu donc, le café et le cookie réconfortant ! Lorsque j’entrai dans ces sanitaires, il y avait déjà un homme. A priori, il devait être commercial, à en juger par son costume malgré la chaleur. Le genre d’homme habitué à faire des kilomètres sur les autoroutes. Cet homme était plutôt propre sur lui, aussi, je ne m’en inquiétais pas. Une fois sortie des toilettes, je m’approchais du lavabo pour me laver les mains.
    
    C’est à ce moment que je sentis une main glisser le long de mon dos et se poser sur mes fesses.
    
    — Très belles fesses... me chuchota l’homme à l’oreille.
    
    Je ne sais toujours pas m’expliquer pourquoi, mais je ne me suis pas retournée pour lui mettre une claque. Non, à la place, je n’ai pas bougé et j’ai simplement répondu « Merci ».
    
    L’homme prit cela comme un encouragement. Il remonta jusqu’à mes seins qu’il prit à pleines mains. Il se colla aussi à moi. C’est à ce moment que je levai les yeux vers le miroir: j’étais en sandwich entre le lavabo et cet inconnu et il me pelotait les seins délicatement. Cette image de moi me fit frémir de plaisir. J’en eus honte et baisser immédiatement les yeux en rougissant.
    
    — Ça te plaît d’être comme ça, je le vois bien. Il ne faut pas avoir honte. ...
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