1. Kabir, maman et moi (5)


    Datte: 04/01/2020, Catégories: Transexuels Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    ... trahir mon excitation. Oui, je venais tout juste de jouir, mais mon petit pénis était mis à rude épreuve avec toutes les images cochonnes qui défilaient dans ma tête. Le bruit de l’eau qui coulait s’interrompit tout à coup, mon cœur se mit à battre deux fois plus vite. Je devais le faire, du moins tenter... J’en mourrais d’envie...
    
    Je me dirigeai donc discrètement vers la salle de bain, puis ouvris la porte en faisant mine de ne pas être au fait de la présence de Kabir.
    
    — Oh, excuse-moi Kabir, je ne savais pas que tu étais là..., dis-je la voix chancelante en apercevant mon homme dans son peignoir.
    
    Mais mes impulsions nymphomanes n’avaient plus de secret pour Kabir, qui avait tout de suite compris pourquoi j’étais là.
    
    Quelques secondes après, j’étais à quatre pattes devant l’énorme engin de Kabir qui débordait de son peignoir. La vue d’« en bas » était encore plus fascinante. Cet angle accentuait encore plus la taille impressionnante de son chibre. Je n’avais qu’une seule idée en tête : le prendre en bouche et ne plus le relâcher ! Mais c’était bien plus facile à dire qu’à faire. Les succions étaient certes savoureuses, mais aussi douloureuses pour ma pauvre mâchoire qui ne s’était jamais adonnée à ce type d’exercice. Heureusement, Kabir semblait apprécier grandement que j’alterne entre sucer sa bite et lécher ses belles couilles pendantes, ce que j’adorais faire et qui, par la même occasion, me permettait de ménager ma mâchoire.
    
    — Allez suce bien salope, me ...
    ... lança-t-il de sa voix rauque, en appuyant sur ma tête pour guider les va-et-vient de ma bouche.
    
    Je me délectais de cette délicieuse bite et de ces succulents testicules. Je m’appliquais à faire mon travail de petite salope en regardant mon homme dans les yeux d’un air soumis et efféminé. Kabir, pris d’un spasme, repoussa ma tête d’un geste brusque. Il s’était retenu d’éjaculer de justesse. Je compris alors qu’on allait repartir pour un deuxième tour, pour mon plus grand bonheur... Cette fois-ci, c’est debout, en levrette, mes mains plaquées contre le carrelage de la douche, que Kabir me défonçait par-derrière. Ses mains s’agrippaient à mes hanches pendant que les violents bruits de ses coups de reins qui butaient contre mon cul résonnaient dans toute la pièce, et sûrement aussi dans le reste de l’appartement.
    
    — Dorénavant, t’es ma petite pute à la demande, t’entends pétasse ?! cria Kabir en se penchant vers mon oreille pendant qu’il continuait à me limer.
    
    — Oh... oui Kabir... je suis ta pétasse... baise-moi quand tu veux, dis-je en entrecoupant ma phrase de gémissements de plaisir.
    
    Lorsque mon homme était arrivé au paroxysme de son plaisir, il m’ordonna de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche. Je m’exécutai. Kabir évacua plusieurs décharges de sperme qui s’écrasaient alternativement dans ma bouche, sur mes yeux, mon menton, mes cheveux, puis encore un peu ma bouche. Je me sentais sale, souillé comme jamais, et c’était le pied !
    
    Kabir, après avoir pris sa ...
«1234...8»