Nouvelle ville, nouveaux plaisirs (1)
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Elise77, Source: Xstory
... bar et chez eux. J’extrais son sexe, sa belle bite bien dure, pas trop grosse, mais appréciable, lisse et visiblement régulièrement lavée. Visiblement, je lui fais de l’effet, car son gland est luisant et sa queue bien raide, avec de grosses veines sur le côté. J’écarte largement mes jambes en remontant ma jupe, qu’il puisse profiter du spectacle, et me caresse à travers mon string.
J’engloutis sa queue; je m’applique à exercer mes talents, je suce, lèche, serre, caresse avant de l’avaler jusqu’à la garde. Je lui procure une gorge profonde énergique en caressant ses couilles lisses de ma main libre. Mon autre main s’active sur mon bouton, après avoir poussé mon ridicule bout de tissu trempé sur le côté.
Philippe m’attrape la tête à deux mains et donne le rythme désormais. J’ai un petit orgasme, prenant sa queue au fond de ma gorge. Son souffle s’accélère, ses coups de bassin deviennent plus érotiques. D’un coup, il se retire, me tire la tête en arrière par les cheveux d’une main et se branle au-dessus de mon visage de l’autre. J’ouvre la bouche et tire la langue; et il jouit d’une quantité impressionnante de sperme dans ma bouche, sur mon visage et sur ma gorge. Mes lunettes sont recouvertes. J’avale ce que je peux, me lèche les lèvres. Il approche sa bite de ma bouche et je la nettoie avec appétit.
Sans un mot, il me laisse et fait le tour de la voiture pour s’installer à la place du conducteur. Je m’essuie comme je peux avec des mouchoirs, nettoie mes lunettes. « ...
... Jette-les hors de la voiture », me dit-il. Ah, oui, il ne faudrait pas que sa femme trouve des mouchoirs encroûtés de foutre séché dans la voiture, n’est-ce pas ? Je m’exécute et il démarre. Il conduit un petit quart d’heure en ville, en caressant de sa main libre ma chatte trempée. Je suis affalée sur le siège, jupe relevée, jambes écartées et string sur le côté. J’ai dû faire plaisir à pas mal de conducteurs sur le trajet.
Je n’en peux plus quand nous arrivons chez Philippe : une belle maison un peu bourgeoise avec un jardin tout autour, et de hautes haies. Le portail automatique se referme, et je sors de la voiture. Philippe me colle contre le véhicule, me prend par la gorge et m’embrasse fougueusement. Notre premier baiser. Sauvage et prometteur. Il me fait passer devant et me guide vers la chambre à coucher. Il me claque les fesses dans l’escalier. Fini le gentleman, place au mâle en rut. Cela ne me déplaît pas plus que cela.
— Retire ton haut !
Je me retourne, dos au lit, lui faisant face, et m’exécute lentement, pendant qu’il se débarrasse hâtivement de ses vêtements. Il est nu, le sexe dressé. Il me pousse violemment sur le lit, se dresse au-dessus de moi. Il m’attrape par la gorge de la main gauche, et serre. « Je t’ai dit de retirer le haut ! Cela veut dire tout le haut, salope ! » De son autre main, il attrape l’avant de mon soutien-gorge et tire un coup sec. Il craque, mais ne vient pas d’un coup. Il tire plusieurs fois jusqu’à le déchirer totalement, et ...