1. Nouvelle ville, nouveaux plaisirs (1)


    Datte: 04/01/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Elise77, Source: Xstory

    Nouveau job, nouvelle ville. Je passe d’une capitale régionale à une ville moyenne du sud de Seine-et-Marne pour commencer un travail de recherche dans un petit labo.
    
    A 26 ans, c’est pas mal. J’ai eu la chance de sauter des classes et d’entrer à la fac à 17 ans, où j’ai pu vraiment découvrir les plaisirs de la vie, contrairement au lycée où c’était...moyen. Bref, j’ai réussi à maintenir mon rythme de travail et mes petits plaisirs tout au long de mon cursus jusqu’à la fin de ma thèse (accomplie en 3 ans pleins comme le veut la règle dans mon domaine désormais) et j’ai décroché ce job. Je vous raconterai peut-être par la suite comment j’ai décompressé après le rendu du manuscrit et la soutenance, mais ce n’est pas le sujet principal de cette trame.
    
    26 ans, donc, gourmande. Grande (1m76), fine (57 kilos), un petit 80 B aux tétons percés d’un anneau en argent chacun, un petit cul ferme, mais pas assez rebondi à mon goût. Ajoutez de grandes jambes et des mains aux longs doigts délicats, j’arrive à faire mon effet. Il paraît que cela se voit dans mes yeux aussi que je suis une coquine. Des yeux banaux, marron, encadrés par de longs cheveux châtain foncé. Des lunettes assez strictes pour compléter le tableau, bien qu’elles accentuent la maigreur de mon visage. Mon visage d’ailleurs ? Cela vous intéresse maintenant que j’ai décrit le reste ? Classique, rien à dire. Je ne suis pas une beauté, je ne suis pas laide. Il est assez triangulaire avec les pommettes hautes du coup. Je ...
    ... me trouve trop maigre, on m’a déjà dit que j’avais l’air malade avec ma peau très pâle et mes os qui dépassent. Mais bon, après tout, ceux qui m’ont dit cela n’ont jamais dit non pour me sauter par la suite.
    
    Célibataire, j’ai pris un studio en location dans la ville où est situé mon labo, c’est moins cher et cela m’évite les allers-retours depuis Paris. Des amis m’ont conseillé de vivre à Paris tout de même pour la vie nocturne, mais je compte bien faire ma propre vie nocturne ici.
    
    Je déménage seule, comme une grande, m’installe et fais les courses, et me mets au lit après une bonne douche, épuisée. Je commence dans une semaine et d’ici là, j’ai encore plein de choses à faire, mais je compte bien passer un peu de bons temps. Avant de dormir, je mets à jour mon compte Tinder, avec des photos récentes et plutôt explicites, et une bio qui indique bien ce que je cherche : du sexe sans attaches, et si possible, avec des hommes mûrs. J’ai envie qu’on me traite comme seuls les hommes mûrs savent le faire, ces jours-ci.
    
    Le lendemain, je swipe un peu, j’ai déjà quelques matchs, mais pas de conversation transcendante. Je sais que je cherche du sexe facile, mais un minimum de vocabulaire et d’esprit me met à l’aise, et, soyons honnêtes, est en général un indicateur de l’imagination des partenaires.
    
    Je matche aussi avec un homme d’une quarantaine d’années, plutôt pas mal, et intéressant, et très intéressé. Le sujet part assez vite sur le sexe et nous semblons compatibles. Il ...
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