La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1104)
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... fut amenée elle aussi, placée en face de moi, nos seins se touchaient, mais, elle, au lieu d’avoir les bras derrière le dos, les avait relevés au niveau de sa bouche… Ses poignets étaient entravés de la même façon que moi, l’autre petite chaîne avec un autre collier métallique lui ceintura le cou, et toutes deux fûmes ceinturées, et accolées face à face l’une à l’autre par une corde serrée au maximum. Puis, grâce à un palan manuel, l’homme fit monter la chaîne principale, nous entrainant lentement mais sûrement de plus en plus haut. Nous nous dressions sur nos orteils, tandis, deux autres gars arrivaient armés d’impressionnants fouets. Tandis qu’ils buvaient des bières en riant, échangeant des propos salaces, nous attendions ce qui devait inévitablement arriver. Le froid m’envahissait, nos deux visages ne pouvaient faire autrement que de se regarder, yeux dans les yeux, les crampes n’étaient pas loin, lorsque le premier au bout de vingt ou trente minutes d’attente, s’approcha de nous, faisant claquer son fouet dans l’air.
- Vous avez froid, les femelles ? demanda-t-il en riant
- Oui Monsieur…
- Rassurez-vous, on va vous réchauffer, les chiennes !…
Il prenait sa place, réglant sa distance par rapport à la longueur de son fouet, l’essayant sur nous, mais sans forcer, quand le second arriva et en fit de même, et un troisième, armé lui, d’une longue cravache. Le premier leva son bras et l’abattit sur moi, ce qui me fit me cabrer, entraînant Anne dans mon mouvement, et ...
... tandis que je récupérais de ce premier coup, un second donné par l’autre homme, tombait sur Anne… Ensuite, ce fut un déluge de coups de fouets, de plus en plus forts, plus précis, plus durs, donnés alternativement sur nous deux. Anne et moi, bougions comme dans une sorte de danse perverse, seins contre seins, tétons dressés contre tétons dressé, ventre et nos deux sexes collés l’un à l’autre…yeux dans les yeux. Nos cris se mêlaient aux rires des hommes qui frappaient… Celui armé de la cravache, était un peu à l’écart, comme attendant son tour. Il fit son entrée dans le ballet, au bout du très long moment de séance de fouets qui avait labouré nos fesses, dos, reins épaules…
Il se plaça entre les deux fouetteurs, à longueur de sa cravache et une nouvelle danse commença : Un coup de fouet sur mon dos, un autre sur celui d’Anne, et un coup de cravache donné au hasard tombant sur les seins de l’une ou l’autre… Nos cris déchiraient maintenant le silence de la nuit, mais, comme dans une sorte de tempo bien rythmé, les coups se succédaient, ce qui eut pour effet de m’exciter grandement. Je ne pouvais expliquer pourquoi je mouillais à cette situation douloureuse, mais je ne pouvais nier le fait que mon bas-ventre réagissait à l’évidence. Il me semblait que c’était aussi le cas d’Anne qui avait comme des spasmes de plaisir à chaque coup reçu…
- Réchauffées les femelles, cria l’un des fouetteurs tandis qu’il abattait son fouet sur les épaules d’Anne qui laissait échapper des cris ...