1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1104)


    Datte: 04/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –
    
    J’étais devenue un animal, un chose, un objet sexuel et si heureuse de l’être !… Il était certainement tard, la nuit était tombée depuis longtemps, j’étais dans mon box, entravée comme une jument… Les bruits de la soirée me parvenaient, les tams-tams résonnaient… L’air commençait à être vif… Je sortis la tête du box et je vis, Anne, comme moi, attendant de s’endormir, certainement.
    
    - C’est la fête, on dirait, dis-je à Anne.
    
    - C’est comme ça tous les soirs, Le Maître festoie, regardant les femelles présentées à ses pieds, qui sont utilisées par les Dominants de la soirée … Ensuite, il en choisit une ou plusieurs pour lui, pour la nuit, et elles ont l’immense chance de pouvoir être dans la couche du Maitre…
    
    - Chut, taisez-vous, quelqu’un approche, dit Mélanie …
    
    Mélanie se retira rapidement de l’ouverture de la porte… Je restais, Anne aussi… J’avais un peu froid… A chaque fois que je remuais, mes chaînes tintaient me rappelant ma condition. Dans la pénombre, un homme approchait à grands pas avec une lampe à pétrole d’une autre époque. Il se dirigeait vers nous. Instinctivement, je reculais, comme pour me cacher dans la sombre ambiance du box. Mais la porte s’ouvrit, l’homme me trouva, tapie au fond, sur la paille… Il posa sa lampe, sans un mot, prit la longe, la détacha de l’anneau fiché dans le mur, et tira dessus pour me faire sortir à ...
    ... quatre pattes… Arrivée dehors, tandis qu’il m’attachait à nouveau à un poteau, il referma la porte du box, et se rendit vers celui d’Anne, qu’il sortit également. Ainsi tenues, toutes deux sommes conduites, à quatre pattes, vers un hangar éclairé dans lequel plusieurs hommes parlaient, de tout, de rien…
    
    - Ah les voilà ! dit l’un d’eux. Jules, amène-les !…
    
    Notre guide (Jules) reprit les deux cordes et nous conduisit vers le groupe d’hommes. Ils étaient tous d’un âge certain, habillés comme les paysans lozériens, pantalon de jeans épais, bottes crottées, chemise à carreaux au large col et parka militaire… Par la fraîcheur de la nuit et étant nues, nous frissonnions…
    
    - Elles ont froid, les femelles…
    
    - Pas grave, on va les réchauffer, dit en riant grassement un autre… (Me désignant) – Approche, la chienne !
    
    J’arrivais, corde trainant au sol, il la prit, et me conduisit vers un des murs du hangar. D’une poutre, descendait une chaîne se terminant par deux plus courtes avec, en leurs bouts, un collier métallique. L’homme, sans un mot, m’enleva longe et collier de cuir, et le remplaça par celui en métal, tandis qu’au niveau des biceps, il attachait mes bras, dans le dos, en les serrant fortement. Si fortement, que cela tirait mes épaules en arrière, et faisait ressortir mes seins en avant. Aux poignets, une sorte d’attache en bois, qui s’ouvrait en étant articulée, avec deux encoches dans lesquelles il me fit poser mes poignets, puis referma l’attache avec un cadenas. Anne ...
«1234»