Je me fais défoncer par mon oncle (16) - Histoires de Sexe

Je me fais défoncer par mon oncle (16)

... voilà qui lâche la sauce en hurlant comme un animal.

Jamais de ma vie je n’ai vu une telle quantité de foutre sortir d’une seule bite ! De longs jets de semence chaude s’écrasent sur nos visages et sur la bite de tonton Jacques que nous continuons de sucer malgré la tempête.

Du sperme dégouline sur nos nichons que nous faisons glisser les uns sur les autres. Le curé contrôle toujours les jets qui vont en diminuant d’intensité cependant.

— Voilà nos deux salopes couvertes de foutre ! Qu’elles sont belles !

Tonton Jacques, déchargeant lui aussi, nous repousse de sa bite et se met lui aussi à couvrir nos visages et nos nichons de son foutre chaud.

— Oh les chiennes ! Oh les putains ! Ma sœur et ma nièce !

Le curé finit de se drainer le dard et il empoigne maman par les cheveux et lui enfonce sa bite à peine ramollie, au fond de la gorge et entreprend de la baiser sauvagement. Et me regardant :

— Tu me crois maintenant quand je te dis que les salopes réussissent à avaler ma queue ?

Tonton Jacques finit de vider ses couilles sur le visage de sa sœur qui subit les assauts de la bite du curé.

Je m’approche du visage maculé de foutre de maman et entreprends de lécher toute la semence ce qui s’y trouve. Le curé Jacques me dit d’un ton cochon:

— C’est bien, lèche bien le visage de ta pute de maman !

Disant cela, il se retire, ...

... épuisé, et va rejoindre tonton Jacques qui s’était assis par terre pour nous regarder.

Achevant ma tâche, je prends maman par le visage et lui faisant ouvrir la bouche, je crache tout le foutre que j’ai léché. Elle me répond en recrachant tout ce foutre sur mon visage et elle commence à tout lécher ! Ma maman est vraiment une salope !

Ensuite, nous nous nettoyons mutuellement les nichons en jetant des regards de putes en direction des deux fouteurs et en me manquant pas de gémir comme des chiennes pour tenter de les exciter.

Après le nettoyage des obus, je pousse maman sur le dos et je me poste en 69 par-dessus elle, histoire de me faire soulager le trou du cul par des coups de langue.

— Nom de Dieu ma fille, il t’a bien éclaté le cul ton papa !

Et je sens sa langue douce lécher le pourtour de mon trou échancré.

— C’est bon maman ! Continue ! Oh putain, ce que ça fait du bien !

Après un moment, je change de position, et je me retrouve entre les cuisses bien ouvertes de maman et je commence à lui brouter la moule. Elle mouille rapidement et son jus se fraie un chemin dans sa raie de fesses. Je suis le ruisseau de ma langue pour recueillir chaque goutte, quand tout à coup, je me relève :

— Maman ! Tu es ici en train de te faire manger la moule par ta fille, tu devais t’occuper de Mia ce soir, où est-elle ?

Suite bientôt...