Je me fais défoncer par mon oncle (16) - Histoires de Sexe

Je me fais défoncer par mon oncle (16)

... souffle, j’ai une pensée cocasse : je me demande si mon trou à merde pourra retenir quoi que ce soit à l’avenir, après avoir subi une telle correction.

Je n’ai pas le temps de réfléchir longtemps à l’avenir de mon trou du cul, que je suis ramassée par les cheveux par le curé enragé, et forcée de le suivre sans avoir le temps de me relever, il me place à genoux à côté de maman qu’il avait, elle aussi, saisi par les cheveux.

Maman se tourne vers moi et se met à lécher mon visage tout en malaxant mes obus. Je suis épuisée, mais elle m’excite ma cochonne de maman. Je lèche son visage à mon tour et j’enfonce ma langue dans sa bouche. Nous nous embrassons comme deux amoureuses et je suce sa langue comme si c’était une bite.

Le curé (il ne me passe pas encore dans la tête de l’identifier comme mon papa) se branle devant nous en respirant très fort.

— La mère et la fille salopes. Elles sont belles, les putes !

Le curé s’approche alors de moi et donne quelques bonnes claques sur mes nichons de sa main libre pendant que maman et moi nous nous bouffons toujours la gueule.

— Et elle aimerait la grosse bite à son papa entre ses gros nichons, la petite chienne ?

Je fais signe que oui de la tête en serrant l’un contre l’autre les deux objets de son désir. Le curé s’approche toujours en se branlant et donne quelques bons coups de bite sur ma poitrine généreuse et prête à recevoir ce sceptre majestueux. Je me demande s’il va décharger un jour. Je n’ai jamais vu une ...

... telle endurance !

Il glisse son énorme membre entre mes nichons et commence un va-et-vient.

Maman a tout à coup une idée encore plus cochonne. Elle repousse le curé, elle me tourne et m’attire vers elle. Nos quatre obus sont maintenant écrasés les uns sur les autres. Elle crache dans la fente de mes seins et je l’imite en crachant dans la sienne. Le curé comprend tout de suite et en pliant ses genoux, il réussit à faire glisser sa queue entre nos quatre montagnes de chair bien lubrifiées de notre salive.

— J’adore ! Vous êtes vraiment des salopes !

Pour toute réponse, maman et moi recommençons à nous rouler une pelle quand tout à coup, arrive entre nos deux bouches, la queue bien bandée de tonton Jacques !

— Allez, les petites putes, sucez-moi bien le dard !

Et, nous tenant par la tête, il fait glisser son pieu entre nos lèvres entrouvertes.

— Elles sont bonnes, les putains !

Voyant cela, le curé retire sa bite de nos nichons et se met à nous donner des coups de queue au visage et recommence à se branler en regardant la fille et sa mère sucer tonton Jacques.

— Jamais je n’ai bandé aussi dur ! Oh les belles petites chiennes ! Je vais arroser vos visages de putes ! Continuez, sucez bien ! Vous aimez les queues hein ? Vous aimez le foutre ? Vous adorez vous faire limer les trous ? Vous aimez qu’on vous détruise le cul ? Oh putain ! La fille et la mère qui sucent la même queue comme deux salopes ! Je décharge sur vos visages, chiennes !

Disant cela, le ...