Soumission
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
jouet,
fépilée,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
fdanus,
jeu,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... lança-t-elle.
Elle alla jusqu’à dix, fière de son exploit. Elle avait tenu. Elle avait accepté la punition sans broncher. Son maître pouvait être fier. Elle se demanda ce qu’il comptait faire ensuite. Allait-il la libérer pour la câliner après cette souffrance comme il le faisait presque à chaque fois ? Au lieu de cela, après un moment d’attente, il lança avec un soupir :
— Décide toi-même de ta punition.
Cette fois, Élodie se maudit elle-même. Elle aurait encore dû le remercier. Elle s’en voulut de sa stupidité.
— Pitié, Maître, je n’en peux plus. Non, par pitié.
— Ta punition ! insista-t-il.
Élodie gémit et tenta de se faire petite mais les liens lui interdisaient tout mouvement. Elle restait offerte au bon vouloir de son maître. Si elle ne décidait pas rapidement, il doublerait la punition prévue.
— Dix coups ? proposa Élodie.
— Avec quel instrument ? demanda Gilles.
— Le même ? Le chat ?
— Non, on va changer, mais d’accord pour dix coups.
Il changea d’instrument mais ne la prévint pas de celui choisi. Elle ne put réfréner un cri lorsque le cuir du martinet s’écrasa sur ses fesses. Il la frappa une seconde fois puis lança :
— On recommence. Tu n’as pas compté !
Élodie était en larmes sous le bandeau. Elle n’en pouvait plus mais elle voulait tenir. Lorsqu’il la frappa sur ses fesses encore douloureuses, elle compta et tint jusqu’au dernier coup. Cette fois, elle n’oublia pas les ordres donnés :
— Merci, Maître.
— Tu vois, quand tu veux, ...
... tu peux.
— Oui, Maître. Merci de m’apprendre l’obéissance.
Gilles lui fit relever la tête et l’embrassa. Puis il se plaça devant et lança :
— Je veux jouir dans ta bouche.
Élodie, qui avait espéré un câlin, s’exécuta tout de même. À l’aveugle, elle trouva le sexe de son maître et lui donna le plaisir demandé. Puis, il s’éloigna et Élodie pria intérieurement pour qu’il la libère. Mais là encore, elle n’eut pas la suite désirée car elle entendit pour la troisième fois son maître annoncer avec un soupir :
— Décide toi-même de ta punition.
La fellation était une « activité » pour laquelle elle aurait à nouveau dû le remercier. Cette fois, elle s’en voulut jusqu’au bout des ongles. C’était de sa faute s’il allait la frapper. Elle l’obligeait à agir de cette manière. Pourtant, les ordres n’étaient pas si difficiles à suivre.
— Je suis sincèrement navrée, Maître.
— Je ne doute pas que tes regrets soient sincères, ma soumise, mais ça ne change rien.
— Je suis désolée de vous obliger à me punir. Je pense que… cinq coups de cravache feraient une punition à la hauteur de la faute commise.
Elle l’entendit bouger et la cravache lui cingla les fesses. Elle compta cette fois immédiatement, ne cria jamais et à la fin, remercia son maître. Elle n’était plus que de la chair brûlante. Gilles la libéra et la prit dans ses bras. Élodie le serra fort, comme s’il était une bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher. Il l’embrassa, déposa des baisers sur son visage, caressa ...