23 avril-6juin
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... folle. Réveille-toi, s’il te plaît. Oh non, je ne veux pas te faire de mal ! Pardonne-moi… Non, il ne faut pas… Pardonne-moi…
L’entendement me revient. Lentement, je prends conscience de la signification des paroles que j’entends. Tout me revient en mémoire. J’essaie d’ouvrir les yeux, cela me demande un effort. J’y parviens. Le visage de Gwendoline apparaît à quelques centimètres du mien. Elle est en pleurs et a des traces de sang sur la figure. Lorsqu’elle s’aperçoit que j’ai ouvert les yeux, elle explose de joie mais pleure toujours autant.
— Tu es vivant, je ne t’ai pas tué.
Et elle se met à m’embrasser le visage, le mouillant de ses larmes. Elle se redresse. Je la distingue mieux. Je me rends compte que sa robe est maculée de sang et que tout le devant en est arraché, laissant sa poitrine dénudée.
— Ne bouge pas, je vais chercher des pansements.
Elle se lève et disparaît de mon champ de vision. Elle réapparaît et m’éponge le visage, la fraîcheur me fait du bien. À un moment, une douleur me vrille la tête, me ramenant à plus de réalité. J’essaie de la faire cesser.
— Ne bouge pas, il faut que je nettoie ta blessure.
Je la laisse faire. Je sens les forces me revenir peu à peu. Je tente de me redresser mais ma tête tourne.
— Non, reste tranquille.
Elle éclate à nouveau en sanglots.
— Pardonne-moi. Je ne voulais pas, j’étais devenue folle.
Je parviens à articuler :
— Calme-toi. Je ne suis pas mort. Aide-moi à aller jusqu’au lit.
Mes ...
... jambes étant encore faibles, je dois m’appuyer lourdement sur Gwendoline pour faire les quelques pas qui me séparent de mon lit. Je m’effondre dessus. J’ai dû présumer de mes forces. La tête me tourne. Je perds la notion exacte de ce qui se passe autour de moi. J’entends encore Gwendoline dire :
— Repose-toi.
Je me réveille. Il fait noir. Je sens une tête sur mon épaule, un corps lové contre le mien. Dominique est restée cette nuit. Je suis heureux, malgré ce bourdonnement et l’impression d’avoir le crâne rempli de coton. Brusquement, j’ai envie d’elle. Je glisse la main dans le peignoir de bain qu’elle a curieusement gardé pour dormir. Je la caresse. Elle répond à mes caresses. Le peignoir disparaît comme par magie. Elle me couvre le visage de baisers, les joues, les yeux, le nez, la bouche. Je suis allongé sur le dos, je n’ai pas le courage de bouger. Je laisse faire Dominique. Sa main descend et finit par rencontrer mon sexe tendu. Ses doigts se referment sur ma hampe, elle me branle doucement. Sans lâcher ce qu’elle tient, elle se redresse pour m’enjamber. Elle me guide jusqu’à l’entrée de sa grotte et s’empale en poussant un petit cri. Après un temps d’arrêt, elle s’allonge sur moi de tout son long. Elle soulève son bassin pour retomber et recommence encore et toujours. Je vais au-devant d’elle en soulevant un peu mes fesses. Elle met sa tête dans le creux de mon cou. Sa chevauchée est rythmée par sa respiration haletante dans mon oreille. Je ne sais combien de temps ...