23 avril-6juin
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... coups de reins. Après une petite dizaine de minutes, sentant que je ne pourrai pas continuer ainsi longtemps, je ralentis le rythme. En même temps, je me penche pour prendre ses seins à pleines mains, les malaxe et les étire doucement. Anne pousse un nouveau cri annonciateur de son plaisir. C’est elle maintenant qui propose de changer de position. Je m’étends sur le canapé. Elle s’allonge sur moi et m’accueille à nouveau en elle. Nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent, s’agacent. Je plaque mes mains sur son postérieur pour le lui pétrir. Je me risque même à lui titiller son petit trou et à y introduire un doigt, sans que le mouvement régulier qui anime ses fesses en soit perturbé. Je sens que j’arrive au bout de ma résistance. J’en avertis Anne qui n’en a cure. Je me répands en elle, ce qui lui fait prendre son pied une quatrième fois. Cette fois-ci elle reste immobile sur moi. Nous sommes en nage. Nous reprenons lentement nos esprits. Elle se redresse un peu, transfigurée. Elle est rayonnante.
— C’était… pfou, dit-elle en m’embrassant.
Après un temps, elle ajoute :
— Tu sais, c’est la première fois que je trompe Pierre. Ce n’est peut-être pas bon pour la morale, mais c’est vraiment bon pour le moral.
Si cela a été bon pour son moral, le mien, à mesure que les idées claires me reviennent, est de plus en plus en berne. J’essaie de ne pas le montrer, et apparemment j’arrive à donner le change. Elle m’entraîne dans une salle de bains. Sous la ...
... douche elle m’avoue :
— Et dire qu’hier quand je me suis rendue compte que je t’avais montré…
— Que tu es une vraie blonde.
— Comme tu dis ! J’avais cru mourir de honte. Et ne voulais plus jamais te revoir.
Je pense en moi-même que cela aurait certainement mieux valu. Elle ajoute :
— Et, en te rencontrant tout à l’heure, ma réaction de la veille m’a parue disproportionnée. Je n’en étais pas morte et tu n’en avais pas perdu la vue. Je me suis rendu compte que ça m’aurait manqué de ne plus te voir.
Nous retournons ensuite dans le salon. Anne est restée nue. Je ramasse ses vêtements qui jonchent le sol.
— Ta robe a peu apprécié la manière dont tu l’as retirée. Au niveau des boutonnières en particulier.
Elle regarde sa robe d’un air amusé.
— Elle n’a pas aimé que je sois pressée de la quitter. Mais je ne le regrette pas. Cela me fera un peu de couture et j’aime ça en plus.
— En plus de la robe, il faudra aussi que tu changes de slip.
— Son état donne l’explication de l’urgence à quitter ma robe. Bon, je vais me rhabiller. Je reviens de suite.
Quand elle quitte la pièce, je dois résister à l’envie de fuir. Mais je n’ajouterai pas cette lâcheté au reste. J’aurais mieux fait de me casser une jambe ce matin. Dans le genre situation tordue, je fais fort. Non seulement je trompe Dominique, mais en plus il faut que ce soit avec sa mère. Bravo pour mon courage et ma franchise ! J’aurais dû parler franchement à Anne. Oui, j’aurais dû. Mais je voulais tellement ...