1. 23 avril-6juin


    Datte: 02/01/2020, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... de travail se passe normalement. Le soir, je pars avec Dominique pour me rendre à l’invitation de sa mère. Quand nous sommes près de chez elle, je la laisse partir en avant, le temps pour moi de passer chez un fleuriste. Muni de mon bouquet, je sonne à la porte. Une jeune femme dont la ressemblance avec Dominique et Gwendoline est frappante m’ouvre la porte. Elle est un peu plus petite, mais même morphologie, mêmes yeux verts, et les cheveux blonds de la cadette. Elle est habillée d’une jupe beige plissée arrivant juste au-dessus du genou et d’un chemisier assorti légèrement décolleté.
    
    — Bonjour ! Bernard La Contrie, enchanté de faire ta connaissance, dis-je en lui faisant la bise. Dominique ne m’avait pas dit qu’elle avait une autre sœur.
    — Enchantée, moi c’est Anne Saint Lescure, me répond-elle en éclatant de rire.
    
    Je suis un peu décontenancé. J’entends la voix de Dominique :
    
    — Quelqu’un peut aller ouvrir ? Je suis dans la salle de bains.
    — C’est fait, répond Anne.
    — Merci, Maman.
    
    J’ai un moment de flottement et éclate de rire à mon tour. Je me reprends un peu et lui tends mon bouquet.
    
    — Je me suis permis, Madame, d’apporter ces quelques fleurs pour vous remercier de votre invitation.
    — C’est très gentil, Bernard. Mais continue de me tutoyer et pas de Madame, appelle-moi Anne. Tu me feras plaisir.
    — Merci, Anne.
    — Tu sais, c’est un vrai compliment que tu m’as fait et on ne peut pas dire qu’il n’était pas sincère. Et en plus tu as ri du quiproquo sans ...
    ... te croire obligé de te lancer dans des excuses compassées. C’est un moment de fraîcheur comme il devrait y en avoir plus.
    
    Elle me prend par le bras et ajoute :
    
    — Allons au salon, on doit nous y attendre.
    
    Nous arrivons au salon bras dessus, bras dessous en même temps que Dominique et Gwendoline. Anne, qui a du mal à reprendre son sérieux, me dit :
    
    — Assieds-toi, Bernard. Que veux-tu comme apéritif ?
    
    Les deux sœurs nous regardent, complètement incrédules, se demandant visiblement si elles ne rêvent pas. En voyant l’expression de ses filles, Anne est prise d’un fou rire. Ce qui augmente encore plus leur perplexité. Elles s’interrogent du regard.
    
    — J’ai l’impression que les neurones de tes filles tournent à plein régime.
    — Elles ont l’air de penser que nous sommes devenus fous. Moi surtout.
    — Leur cervelle va bientôt entrer en ébullition. Ce serait dommage qu’elles deviennent gâteuses si jeunes.
    — Elles sont trop drôles toutes les deux, réussit à articuler Anne au milieu de son rire.
    — Elles feraient surtout une illustration magnifique pour représenter le questionnement existentiel.
    — Ou un monument élevé au point d’interrogation.
    — C’est plutôt toi, à force d’être pliée en deux, qui va prendre la forme du point d’interrogation.
    — Je ne vais pas être une mère indigne. Je ne veux pas que mes filles aient leur cerveau qui grille par ma faute.
    
    Elle se mit à leur expliquer le pourquoi de sa bonne humeur. Elle acheva son récit par :
    
    — Et quand je vous ai ...
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