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Astrid et Julia (3)
Datte: 02/01/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... désir bestial m’anime. Je la couche sur le dos et la pénètre sans ménagement en vrillant mon gland dans sa matrice. Je suis dur, très dur. Bien que mouillée, elle ne s’attendait pas à une intromission aussi brutale. Elle pousse un cri, vite transformé en gémissements continus. Son vagin est alors écartelé par les vifs allers et retours de ma bite gonflée au maximum. Je la laisse jouir une première fois seule et je la retourne. C’est son cul que je veux. J’ai attendu pour avoir celui de sa fille mais elle, c’est tout de suite. Je la fais mettre à genoux et je promène mon sexe englué de ses sécrétions sur la raie de ses fesses. Je crache sur son anus et je lui mets un doigt dedans pour tester son élasticité. Elle ronronne. C’est le moment de tester sa soumission totale. Je pose mon gland sur son petit trou plissé et je pousse. Ça ne veut pas entrer. J’insiste en lui écartant les fesses, pas d’amélioration. Je lui claque le postérieur et cette fois-ci j’y vais franco. Ses deux sphincters sont franchis sans encombre mais non sans dommage. Astrid pousse un hurlement tant la douleur est vive. Je m’arrête un instant. — Arrête de crier. Tu as voulu que je te sodomise, je le fais. — Oui mais ça fait mal. — C’est normal, jamais ton mari ne t’as prise par-là. Je le vois bien tu es très étroite et contractée. Il va falloir que je t’élargisse car moi je me fais mal au nœud. Je la laisse s’habituer à mon mandrin en restant immobile au fond de son cul. Je le retire alors ...
... lentement mais sans le faire sortir et je m’enfonce à nouveau. Cela plusieurs fois de suite jusqu’à sa décontraction totale. Je prends alors ses seins à pleines mains, je m’y agrippe et pendant de longues minutes je lui détruis inexorablement l’anus dans de profonds coups de reins. Elle crie à nouveau, puis gémit, puis soupire jusqu’au moment où, alors qu’elle contracte ses muscles internes sur ma bite, dans un plaisir commun, atteignant l’extase, j’éjacule dans son fondement. Après quelques minutes, nous nous retournons sur le dos et nous nous prenons la main. Astrid se tourne à demi vers moi, m’embrasse doucement les lèvres et me dit : — Tu es un amant formidable. J’avais très envie de toi en venant te rejoindre. Tu m’as comblée au-delà de mes désirs. Tu m’as prise d’abord par-devant, puis tu as violé mon anus ; je vais avoir du mal à m’assoir ; mais malgré ça tu m’as fait aimer la sodomie et tu m’as fait jouir au-delà de mes espérances. Jamais mon mari ne m’a fait monter au septième ciel comme toi tu le fais à chaque fois. Elle se penche alors sur moi et commence à lécher mon sexe aromatisé aux senteurs extrêmes de son cul. Ça n’a pas l’air de la gêner. Elle l’avale complètement jusqu’à le faire durcir à nouveau. Elle me pompe merveilleusement bien et caresse mes bourses de ses douces mains. Elle me demande alors de me mettre à genoux pour mieux lécher la raie de mes fesses, faire pénétrer sa langue dans mon petit trou et entamer une fleur de rose. Elle se glisse sous ...