1. Astrid et Julia (3)


    Datte: 02/01/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Après son départ, j’analyse la situation des jours qui ont passé. Peu de temps après l’arrivée de nos nouveaux voisins, j’ai tronché la mère et la fille. Toutes les deux se sont révélées comme des furies du sexe. La mère d’abord, qui sous ses airs de bourgeoise stricte « mal baisée », m’a littéralement « bouffé » le poireau avant de se faire fourrer comme une chienne dans les toilettes de sa maison.
    
    La fille ensuite, soi-disant délurée, dont j’ai travaillé la chatte lors de la réception à côté du garage et, qu’aujourd’hui je viens de soumettre à tous mes caprices sexuels. Je sens d’ailleurs qu’elle va passer une bonne nuit. Elle était moulue quand elle m’a quitté...
    
    Le moins qu’on puisse dire, pour un célibataire comme moi, c’est que j’ai beaucoup de chance d’être tombé sur deux femmes comme elles. Les jours, voir les mois qui suivent, vont être riches en péripéties.
    
    Mon téléphone vibre. C’est un message d’Astrid.
    
    — Je peux venir te voir demain matin, Julia va à la Fac pour diverses inscriptions. J’ai envie de toi.
    
    La salope, elle n’a pas tardé à me relancer. Quelques minutes se passent. Je la laisse mariner. Elle insiste.
    
    — Qui te dit que je veux te revoir ?
    
    — Je serai ton esclave. Tu pourras me faire tout ce que tu veux.
    
    — Tu es sûre ? Précise-le moi de manière crue !
    
    — Tu aimes mon cul ? Tu pourras me sodomiser. Tu aimes me seins ? Tu pourras les martyriser. Tu aimes ma chatte ? Tu pourras la défoncer.
    
    — Quel programme ! Tu crois que ça ...
    ... suffira pour que je veuille encore de toi ?
    
    — Salaud ! Tu me fais languir.
    
    Je pousse le bouchon un peu plus loin pour voir où je peux l’emmener. Ça passe ou ça casse.
    
    — Tu accepteras de faire l’amour devant moi avec d’autres hommes, te faire prendre à plusieurs ?
    
    Quelques secondes se passent, elle cogite dur. Je la relance sans pitié.
    
    — Alors ?
    
    — Oui c’est d’accord.
    
    — OK, Je t’attends demain matin à neuf heures, tu amènes les croissants. J’ai juste une heure à t’accorder. Je dois bosser après.
    
    Il est neuf heures pile quand elle sonne. Je l’accueille en peignoir. Astrid est enveloppée dans un manteau, qu’à peine la porte fermée, elle laisse tomber à ses pieds. Elle est intégralement nue, vulnérable. C’est la première fois que je la vois comme ça. Je découvre ses seins légèrement tombants, placés bien haut sur sa poitrine. Étrangement ses aréoles sont proéminentes ce qui donne du cachet à son avant-scène. Il fait frais. Elle frissonne. Ses tétons se dressent comme une incitation à les sucer. Elle écarte les jambes et dévoile son abricot intégralement épilé. Ses cheveux longs de couleur brune ; elle portait un chignon la dernière fois que je l’ai vue à la réception ; lui tombent dans le dos. Ses yeux ; verts ; me fixent d’une manière étrange. Elle prononce alors ces paroles :
    
    — Je suis à toi ! Fais de moi ce que tu veux !
    
    Je l’entraîne dans ma chambre, sans un mot, car c’est là que je veux lui faire l’amour pour la seconde fois. Pas de préliminaires, un ...
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