En cadeau, elle s'offre à un autre
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
extraoffre,
cocus,
hotel,
anniversai,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
champagne,
conte,
totalsexe,
couple+h,
cocucont,
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... préférais la mettre sur le dos. Elle s’est laissée faire et je l’ai pistonnée jusqu’au moment où le plaisir m’a submergé.
Aussitôt, elle s’est retirée et s’est glissée sous Alexandre. Dès qu’il fut complètement en elle, elle a poussé son bassin en avant pour le gober entièrement. Il effectua de nombreux allers et retours. Odile, les bras en arrière, s’offrait totalement. Il s’est arrêté. Frustrée, elle a noué ses bras autour de son cou et ses jambes autour de ses reins. Ils étaient emboîtés l’un dans l’autre. Quand il s’est levé, Odile a écrasé ses lèvres sur sa bouche. Il l’a plaquée contre le mur et, debout, il l’a pénétrée avec force. Secouée par les coups de reins saccadés de son amant, Odile avait le corps ballotté comme un fétu de paille, sa tête tanguait de droite à gauche, elle prononçait des mots incompréhensibles, sa jouissance ne diminuait pas. Il voulait la posséder complètement ; il s’est assis sur le bord du lit. Odile, toujours ancrée sur lui, s’est déchaînée. Des gémissements remplissaient la pièce, elle le voulait une fois encore, réclamait sa semence. Il tardait à venir, elle redoubla d’ardeur, il résista mais au bout de quelques minutes, après un dernier coup de reins, il jouit en elle. Elle s’est écroulée dans ses bras, ivre de bonheur. Ses jambes ne pouvaient plus la porter. Toujours enlacés, ils sont tombés sur le lit, leurs corps soudés ne faisaient qu’un.
Ils restèrent ainsi, Alexandre lui envoyant quelques coups de reins, un « oh oui encore ...
... » lui répondait. Enfin la queue luisante de sperme est sortie de sa chatte béante. Elle a bien essayé de la remettre en place avec sa main. En gémissant, elle avançait son bassin pour l’aspirer, mais le conduit détrempé et le sexe flasque de son amant l’ont fait échouer. Alors, ils ont éclaté de rire et se sont lovés dans les bras l’un de l’autre.
Nous venions de vivre un pur moment de bonheur. Je proposais que nous nous reposions, nous devions travailler dans quelques heures. Je me levai et commençai à m’habiller. Ils m’ont regardé, se sont séparés à regret et se sont rhabillés. Au moment de nous quitter, leurs yeux brillaient encore de désir l’un pour l’autre, elle ne le lâchait pas des yeux comme pour fixer en elle son image. Elle ne s’est retournée qu’une fois qu’il est monté dans sa voiture. Leur envie de s’aimer encore était palpable, j’aurais dû m’éclipser, les laisser seuls, mais je n’avais pas su le faire. Nous sommes rentrés à notre domicile.
Une fois à la maison :
— Tu as déjà fait l’amour avec lui. C’est pas possible autrement, une telle complicité entre vous. Et toi qui refusais que je te mette un doigt dans les fesses sous prétexte que tu avais mal, tu te laisses enfiler un aussi gros morceau dans les fesses, et tu y trouves même du plaisir !
— Oui, j’ai offert mes fesses à mes amants, pas à mon mari, je ne sais pas pourquoi.
Ne voulant pas continuer le débat, elle s’est retournée. Je ne trouvais pas le sommeil. À sept heures trente, je partis ...