1. Le gros Tonio


    Datte: 29/12/2019, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail nympho, poilu(e)s, bizarre, dispute, odeurs, Oral pénétratio, fsodo, portrait, Humour extraconj, attirgros, Auteur: Natasha Sanchez, Source: Revebebe

    ... mettre entièrement à poil, il s’installe confortablement dans son fauteuil, bite dressée et bien dure et me demande de venir m’empaler sur son gros dard. Je n’aurais rêvé plus gros tuteur. C’est avec plaisir que je l’enfonce en moi… et après une cavalcade débridée, nous jouissons à nouveau tous les deux, et presque de concert.
    
    Mais l’heure passe, le temps passe, son téléphone portable sonne. C’est sa femme qui se rappelle à son bon souvenir, tandis qu’il lui raconte des craques pour justifier son retard, moi, salope, je lèche la grosse pine enduite de nos sécrétions intimes. Cette connasse a-t-elle des doutes ? Toujours est-il que mon amant me fait comprendre qu’il est l’heure de nous en aller. Il me retire de la bouche mon sucre d’orge :
    
    — Toi, ma petite salope, tu ne perds rien pour attendre. T’es trop bonne, demain je vais t’en remettre un bon coup.
    
    Loin de me faire peur, cette perspective m’enchante.
    
    Quand je suis enfin de retour à la maison avec mes deux mouflets, le choc ! Bernard est déjà là, son patron l’a rappelé et il est revenu un jour plus tôt. Évidemment ça se passe mal, il me demande où j’étais et ce que je foutais à cette heure. J’ai beau lui raconter que j’étais partie faire des courses, il n’est pas vraiment dupe, il voit bien que je n’ai rien ramené, sauf un pack de flotte qui était déjà dans la voiture. En plus, je dois sentir le sexe, sur ce point-là je peux difficilement tromper mon homme, il me connaît trop bien. Le ton monte, sa colère ...
    ... gronde, les enfants font les frais de cette dispute.
    
    Les gamins une fois au lit, il s’approche de moi et je reçois une paire de claques :
    
    — Espèce de petite catin… Avec qui t’étais ? Avec qui t’as baisé, salope ?
    
    Comme j’ai le toupet de dire « personne », il soulève ma jupe et arrache de rage ma culotte encore toute poisseuse du sperme de mon amant :
    
    — Tu te fous de ma gueule, pouffiasse ! Elle te suffit pas, ma queue ? T’es trop vicelarde, faut que t’ailles voir ailleurs, c’est ça ? Eh bien, réponds ! Pauvre petite pute, tu mériterais que je t’encule à sec.
    
    D’ailleurs, joignant le geste à la parole, il me fait mettre à quatre pattes dans le salon et présente son gland sur ma rosette. Je le sens bien dur sur mon petit trou et il s’enfonce en moi en une seule fois d’un solide coup de reins. Je crie sous la douleur, cette sodomie brutale m’irrite les fesses mais je pense que je la mérite et que, toutes choses pesées, il vaut mieux ça qu’un long divorce.
    
    — Alors c’était qui ce porc qui t’a baisée ? demande-t-il en me défonçant le cul.
    — Mon nouveau chef, le gros Tonio.
    — Je vais le crever, moi, cette ordure. Il ne te l’a pas foutue dans le cul quand même… si ça se trouve, en plus, tu aurais bien aimé… Je me demande ce que je fiche avec une pouffiasse !
    
    Comme je pousse, finalement, quelques gémissements de plaisir, il me décule.
    
    — En plus tu aimes ça, tu me dégoûtes. Tu ne mérites pas d’avoir ma bite. Allez, finis-moi avec ta bouche et avale tout, ...