1. Le gros Tonio


    Datte: 29/12/2019, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail nympho, poilu(e)s, bizarre, dispute, odeurs, Oral pénétratio, fsodo, portrait, Humour extraconj, attirgros, Auteur: Natasha Sanchez, Source: Revebebe

    J’aime mon mari, j’aime sa brutalité, son côté un peu ringard et volontairement macho. J’aime la façon dont il me prend, avec vigueur et sans chichi. J’aime être sa petite catin, j’aime qu’il abuse de moi.
    
    Après plus de vingt ans de mariage, nous faisons encore l’amour presque tous les jours, toujours avec la même envie et le même empressement.
    
    Je travaille à l’usine, lui est chauffeur routier. Je débauche généralement la première, sauf quand il a ses journées de récup. Lorsque je rentre chez moi, je me prépare à sa venue. Depuis le temps, je sais ce qu’il aime, mon Bernard ! À la maison, il veut que je sois entièrement disponible, sans soutien-gorge et sans petite culotte. Je m’y prête de bonne grâce, sans compter que cela me fait faire, en plus, des économies de lingerie fine. C’est comme ça qu’il m’aime : au naturel, sans maquillage et sans parfum. L’été, quand j’ai bien sué toute la journée, je sais qu’il adore en plus renifler mes dessous de bras, car mon odeur l’excite. Alors, de septembre à juin j’évite aussi de me raser, il aime mes touffes de poil, mon homme.
    
    ~~ooOoo~~
    
    L’autre soir, je rentre donc à la maison après une journée vraiment pénible. À la boîte, nous avons un nouveau contremaître qui n’arrête pas de me draguer. J’ai beau avoir 45 ans, je continue à plaire, surtout au gros Tonio. Ça a l’air d’être un sacré vicieux celui-là, il n’arrête pas avec ses plaisanteries grivoises et ses clins d’œil appuyés. Je trouve ça assez duraille car je ne suis ...
    ... pas une Marie-couche-toi-là. Quoi qu’il en soit, je dois dire que ça m’excite de me sentir ainsi désirée. Si je n’étais pas mariée…
    
    Mais enfin, passons. Je retire donc ma lolotte et remarque la tache jaune qui trahit mon émoi. À force de sous-entendus, il a fini par me troubler, cet enfoiré. Je dois reconnaître que ce gros cochon bedonnant m’excite, d’ailleurs je pense un peu à lui en titillant mon clito, je revois sa boule à zéro et ses petits yeux vicieux… Si mon mari savait que je me touche en pensant à un autre mec, je recevrais une bonne torgnole qui, dans mon cas, serait amplement méritée… C’est pas ma faute à moi si j’aime les hommes lubriques ! Vivement que Bernard revienne car j’ai très envie d’être baisée. Je ferme les yeux en me caressant un peu plus fort, Tonio est toujours là, dans mes fantasmes, je l’imagine en train de me bouffer la chatte. À force de me draguer à longueur de journée, il m’a donné envie de lui, de sa grosse bedaine et de ce qu’il y a en dessous qui m’a l’air bien rempli.
    
    Enfin les pneus de la voiture crissent dans l’allée, je suis vraiment toute trempée d’envie. Mon homme me retrouve assise sur le canapé, jupe relevée, en train de me doigter.
    
    — Hummm salope, mais t’as le feu au cul, aujourd’hui !
    
    C’est vrai que, ce soir, j’ai des envies pressantes. Bernard s’approche de moi et défait sa braguette. Depuis le temps que je l’attends, cette bite. Je la lui sors, sa belle queue, et je l’embouche, et je la pompe, j’en ai vraiment l’eau à la ...
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