Le journal d'une veuve (2)
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... avec quelques mâles soigneusement sélectionnés, le critère de base étant de ne pas être salarié sur place. Mais comme les intervenants extérieurs sont nombreux, et comme ceux-ci s'aperçoivent vite qu'ils ont affaire à des dames dans le besoin, qui plus est super bien foutues, la chambre du stupre est fréquemment utilisée à des fins autres que médicales, ce qui ne va pas sans faire jaser le personnel. Mais comme l'ambiance est plutôt bonne dans l'établissement, pour l'instant, ça passe.
L'autre jour, mon Croate préféré, Branko, m'accompagnait pour régler un problème de fuite dans une chambre. J'ai tout de suite vu l'intérêt de Lise pour mon canon de mâle, qu'elle savait être mon amant depuis trois mois. C'est comme si une synthèse de Rocco Siffredi et Léonardo di Caprio avait débarqué dans son établissement. En aparté, pendant qu'il travaillait, elle m'a demandé carrément si c'était une exclusivité. Vu que je tiens à rester en bons termes avec elle, mais vu aussi, en toute honnêteté, que j'ai fait le tour du personnage, je lui ai dit que non. Et voilà la directrice dans la piaule en question, en train de lui faire du charme, de tortiller du cul qu'elle a bien rebondi, et de lui proposer des prestations régulières comme homme à tout faire. C'était bien le mot. Je me suis éclipsée pour visiter deux patientes. Quand j'ai terminé, j'ai cherché Branko là où je l'avais laissé. Pas de Branko. J'ai tout de suite mis le cap sur la chambre du stupre qui, comme toutes les chambres, ...
... n'est pas fermée à clé de l'intérieur par sécurité. J'ai ouvert discrètement et j'ai vu ce que je m'attendais à voir. Complètement à poil, Lise chevauchait Branko avec une folle ardeur. Son cul se balançait dans tous les sens et connaissant la pine de mon Croate, je savais qu'elle était visitée en profondeur et que ça lui faisait sacrément du bien. Elle m'a aperçue dans l'entrebaillement de la porte, m'a souri sans s'arrêter de rouler des hanches, ses petits seins dressés dans ses mains. Je me suis discrètement retirée, n'étant pas du genre à gâcher ce genre de plaisir. J'ai croisé Fatou, l'adjointe, qui m'a demandé si j'avais vu la patronne et je lui ai répondu : "oui, elle baise". Fatou a pouffé dans sa bouche. Et je suis partie vers ma visite suivante.
Le lendemain, j'ai rencontré Branko et je lui ai demandé comment s'étaient passés ses travaux à l'Ehpad. Il était un peu gêné et je lui ai dit qu'il pouvait parler, que je n'étais pas jalouse. Alors, il m'a dit avec ses mots :
- La patronne, elle est venue pendant que je travaillais, elle m'a regardé faire et quand je me suis retourné, elle était toute nue sur le lit. Elle m'a fait comme ça avec le doigt (il mime avec son index un mouvement qui veut dire viens par ici). Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? C'est ma patronne, hein ? Alors, je l'ai baisée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire que je ne croyais pas à la contrainte de corps. Une femelle comme Lise à poil sur un lit qui vous invite à la sauter, c'est ...