Le journal d'une veuve (2)
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
Mai
Je vous l'ai déjà dit dans le précédent texte, ma patientèle est composée en grande partie de retraités. Quelques uns d'entre eux sont hébergés en Ehpad, ces établissements spécialisés pour les personnes dépendantes, en particulier sur le plan mental. Je me rends fréquemment dans l'un d'eux qui a la particularité d'être géré, administré et animé uniquement par des femmes. La directrice, Lise, est jeune puisqu'elle a tout juste la trentaine. C'est un petit format blond aux yeux clairs, un vrai canon, toujours bien mise, qu'on verrait davantage dans une boutique de luxe que dans un Ehpad. Son adjointe, Fatou, est physiquement son contraire parfait : 1,80m ou pas loin, sculpturale et noire comme du charbon, coiffée de petites tresses. Samira, une beurette d'une quarantaine d'années, cheveux longs, souriante et élégante, lèvres incroyablement pulpeuses (mon rêve) est préposée à l'accueil et représentative d'une forte proportion d'employées d'origine maghrébine dans l'établissement. Rita, la gouvernante, doit friser la quarantaine et se distingue par ses cheveux bruns coupés à la garçonne ainsi que par une mise un peu débraillée qui tranche avec ses collègues sans pour autant la rendre moins sexy, au contraire : je trouve qu'elle respire le sexe. Marie, l'animatrice d'une trentaine d'années, est du genre costaud mais son visage encadrée d'une chevelure brun-roux est très agréable. Marianne, la chef infirmière, en fin de quarantaine, aux cheveux abondamment frisés, toujours ...
... maquillée, beau visage, ne dépare pas l'ensemble, loin s'en faut, malgré des cuisses et un derrière copieux mais c'est affaire de goût. Ariane, la psychologue, environ 35 ans n'est pas loin d'être la plus belle : grande, cheveux mi-longs bruns, corps parfait, toujours souriante. La moins gâtée par la nature est la femme médecin coordonnatrice, Jeanne, nettement plus âgée, un peu hommasse, et légèrement imbue de ses fonctions, ce qui fait qu'on s'entend plutôt mal. Je passe sur les nombreuses employées que je connais plutôt mal.
Est-ce parce que cette petite collectivité évolue en permanence avec la vieillesse, le déclin, la mort ? Toujours est-il que le sexe fait partie de leurs préoccupations régulières et la directrice ne fait pas exception. En clair, leur goût de vivre pleinement le temps présent passe par le cul. Et pourtant, toutes sont mariées ou en concubinage, mais quand elles sont au boulot, c'est comme si on appuyait sur leur petit bouton pour déclencher un appétit de pénis. L'autre jour, quand j'ai déboulé dans le bureau de Lise pour me faire enregistrer, elle comparait avec Samira et Rita les mérites respectifs des deux prestataires kinésithérapeutes au plumard. Longueur de bite, ardeur à s'en servir, inventivité, tout était passé en revue. Comme elles savent que je baise, elles me prenaient à témoin mais j'étais bien incapable de trancher. J'ai découvert qu'une chambre de l'Ehpad, soi disant réservée pour les cas d'urgence, sert en fait aux ébats de ces dames ...