1. Anne offerte aux paysans par son mari et le Promoteur (4)


    Datte: 28/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alcody, Source: Xstory

    ... attendent chaque week-end... les bourses pleines »
    
    « À ce point ? Djibril ? »
    
    « Oui Madame vous avez été tellement bonne à chaque fois ! Vous les avez tellement fait jouir, tellement câlinés, sucés, bus leurs spermes, léchés partout, quel bonheur.
    
    Je n’étais pas présent mais les récits sont unanimes, vous êtes leur reine, une super gourmande vicieuse mais une reine »
    
    « Bien Djibril, tu es franc, j’apprécie, je vais te faire un beau cadeau ! Quand tu reviens me chercher dimanche soir, tu me gardes, tu me présentes à trois de tes plus proches copains.
    
    Je te veux arrogant de m’offrir et bien en profiter.
    
    Tu les choisis avec soin, comme toi, forts, musclés, surtout ceux si ne parlent pas français !! Tu feras de moi TOUT ce que tu veux, me donner, me diriger !
    
    Devant eux, tu es mon Maître absolu, je t’obéirai sans rien refuser, jamais.
    
    "Je voudrais qu’ils me dévorent toute crue !" « Ça te plaît ? Tu veux ? »
    
    « Oh que oui Madame !!! Vous êtes à moi, je bande déjà, je passe les coups de fil dès ce soir mais... euh... j’ai quatre potes et amis intimes ! Pas trois..."
    
    "Petit malin sale profiteur ! OUI allez ! OUI ! Va pour cinq avec toi".
    
    Arrivée devant l’énorme portail de bois avec ses caméras de surveillance, appels de phares, la porte s’ouvre...
    
    La voiture m’avance jusqu’au milieu de la cour carrée protégée de hauts murs.
    
    Gil vient à ma rencontre, fait signe STOP.
    
    Djibril m’ouvre la portière, en sortant je glisse ma main discrètement et ...
    ... flatte doucement sa braguette, en signe de complicité.
    
    Une bite énorme est là, tendue, prometteuse.
    
    Gil :
    
    "Bonjour ma petite salope ! Vite ! Fais voir comme tu es ? »
    
    Je sors de la voiture.
    
    Debout jambes bien écartées, campée droite sur mes talons hauts, toute poitrine dehors, je le toise du regard »
    
    Grave erreur !!! J’ai oublié l’égo considérable de ces hommes rustres et primaires.
    
    « Non mais tu te prends pour qui ? Mets-toi à poil tout de suite ! Ici ! Effrontée ! »
    
    « Baisse les yeux, A POIL, TOUTE NUE, vite ! »
    
    Je n’ose l’affronter. Je me déshabille sur place. Au milieu de la cour.
    
    Les trois boutons de la robe sautent, mes seins jaillissent, je retire mes chaussures, fais chuter la robe dans un mouvement d’offrande, Gil arrache mon string !
    
    Sans ménagement.
    
    Claque mes fesses ! Violent.
    
    Je suis complètement nue, déjà......
    
    Le sel sexuel de la situation, c’est qu’une bonne vingtaine d’ouvriers agricoles est là, aux fenêtres. Il y a aussi ceux des écuries.
    
    Ils sont logés sur place.
    
    Je distingue très bien les regards friands, excités, de ces hommes, maghrébins, noirs, blancs, turcs, asiatiques, j’aperçois leurs désirs des bites qui sont arborées.
    
    « Marche doucement salope, montre-leur ! Tourne-toi ! J’ai envie de leur faire plaisir».
    
    Il me tient la nuque pour me guider.
    
    Je défile devant les fenêtres, virevolte, montre mon cul, tends la poitrine que j’offre à deux mains, caresse ma chatte et envoie des baisers de la même ...
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