Anne offerte aux paysans par son mari et le Promoteur (4)
Datte: 28/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alcody, Source: Xstory
... gémis en arrivant entre les grosses cuisses de ce Jeannot. Je contemple la braguette avec avidité.
« HUMMMM, HUMMM, miam, Monsieur Jeannot donnez-là moi, vous allez aimer, vous savez je suce tout, je bois tout, je lèche tout, vraiment tout, je la veux !! OUUIII ! Relâchez-vous ! »
L’assistance est suspendue à mes gestes, ma voix, envoûtée par les courbes que je déploie sous leurs regards, par mon visage réjoui et mon appétit grandissant.
Ils sont stimulés, Anne va tout donner, être à eux, encore...
Ils savent l’ardeur folle dont je suis capable !!
Ledit Jeannot a une petite bite, 14 centimètres tendue, au plus, très large, circoncise.
Un amuse-bouche pour moi, je l’avale entière et la broute sans la lâcher une seconde. Comme à mon habitude je la mange en caressant les couilles, glisse mon majeur dans son cul ! La langue lèche à l’intérieur, les lèvres suçotent, aspirent...
"Donne-moi Jeannot. Donne ! " Je le CRIE ! Affamée.
Il y croit ferme.
Fou de désir il tremble, abasourdi de cette sensation, impossible de me résister, son corps se crispe, se tend, dans un désordre total il est pris de soubresauts puissants et explose au fond de ma gorge !
Il ne peut rien dissimuler il est en mon pouvoir ! Il se vide et s’écroule sur son fauteuil. Vaincu.
"Vingt dieux de m... Quelle chienne Gil. C’est meilleur que tout ce que tu as dit !! Je n’ai jamais eu ça ! De ma vie "
"Bordel ! Mais moi aussi je la veux ! Viens ici la suceuse ! Viens me ...
... pomper "
C’est le plus gros rustaud 1 m 90, 130 kilos. Lui aussi rasé chauve, une tête de brute.
Je le verrais bien en patron de camp d’esclaves le fouet en main. Il est fin saoul, titube un peu, il me dévore des yeux, un rictus méchant aux lèvres, goinfre.
J’ai presque peur mais je vais le mater, l’amadouer, transformer en petit nounours sous ma langue, mes mains, ma chatte. Le Gilbert !
Je ne veux pas me vanter, vous avez appris à me connaître. Ma force c’est la douceur, je suis humble, respectueuse, toujours en admiration, en vénération de celui que je vais sucer ou qui va me prendre ! Ma gourmandise se voit (du moins je le laisse croire).
De plus, nue de face, beaux seins aux tétons dressés, chatte bien visible les lèvres gonflées, juste mon ticket de métro, la démarche très balancée, bronzée intégral, je suis tout de même baisable et désirable.
Je suis très "charnelle" !
Le gros Gilbert commence à fondre sous mon regard, mon envie de lui.
"Gilbert laissez-moi faire. Je vais vous videz les bourses, boire tout votre jus, je vous promets que vous serez le premier à m’enculer â fond et aucune capote ».
« Si Gil et Luc sont d’accord bien sûr "
(je sais que ce langage cru plaît beaucoup. Georges l’a dit. Il excite)
Gilbert est de plus en plus congestionné il se déshabille très vite. Pressé.
Nu, le ventre pointé vers moi, les cuisses comme des jambons, poilu de partout, la bite est dressée 18 au moins, très épaisse et (oh que j’aime) non ...