La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1025)
Datte: 27/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Saint-André en bois brut, visiblement faite maison.
Très vite, je fus attachée, bras et jambes écartés, face à ce public. Une femme se dirigea alors vers une voiture, ouvrit le coffre et sortit une table pliante et un panier. Un homme vint lui prendre la table, la déplia et l’installa proche de la croix. La femme déposa le panier et en sortit un par un, un martinet, un pad, un fouet et une badine, un plug, un gode, des pinces et une batterie. Aucun mot ne fut échanger entre eux, chacun ayant l’air de savoir parfaitement ce qu’il allait avoir à faire. On m’installa le plug, le gode, qu’on fit tenir avec une sorte de harnais, et les pinces, deux à mes tétons et deux à mes lèvres intimes, tous reliés à la batterie. Puis chacun leur tour, ils prirent un des instruments sur la table et s’ingénièrent à me faire rougir chaque millimètre carré de ma peau. Et pendant ce temps, une femme augmentait les intensités des impulsions électriques des appareils qui me pénétraient ou me pinçaient. Je restais silencieuse, mais au fur et à mesure, je ne pouvais empêcher mon visage de se marquer de grimaces de douleurs, en même temps que mon excitation s’écoulait le long de mes cuisses. Douleurs des coups portés, douleurs de l’électricité qui me traversait, et un plaisir tellement intense pour la soumise masochiste que j’avais découverte en moi. Comme j’aurai voulu pouvoir recevoir l’autorisation de jouir !
Je serrais les dents, j’aurai voulu pourvoir serrer les cuisses, je faisais tout ...
... pour me contrôler, ne pas avoir d’orgasmes, ne pas gémir… Après le traitement que j’avais reçu de face, je fus détachée pour me retrouver contre le bois et leur présenter mon dos, mon cul... Ils ne s’arrêtèrent que lorsque je fus bien rouge, assez pour que la couleur reste un bon moment, sans pour autant que cela ne m’ait blessé. On aurait pu croire, lorsqu’ils me laissèrent me rhabiller, avec difficultés vu la sensibilité de ma peau, que j’avais pris des coups de soleil sur l’ensemble de mon corps, mis à part mon visage. En dehors de la douleur sourde qui ne me quittait pas, j’avais de plus une grosse tension excitante dans mon bas-ventre. Je n’avais pas eu le droit de jouir, et mon excitation était à son comble. J’aurai pu jouir à cet instant, sans le moindre attouchement, rien que sur un ordre donné ! Ils ne m’avaient pas laissé partir sans accessoires. Ils avaient enlevé le plug et gode électriques, mais ils les avaient remplacé par des modèles vibrants à piles. J’avançais donc dans la rue, surexcitée, sur le point de jouir, la douleur ne me quittant pas et ne faisant qu’augmenter, paradoxalement mon excitation. Heureusement j’arrivais bientôt. En m’emmenant dans le garage privé, les hommes qui m’avaient « kidnappée » m’avaient rapprochée de mon lieu de destination.
Lorsque j’arrivai à la bonne adresse, je me demandais ce qui allait encore m’arriver ! Car je me retrouvais devant la devanture d’un cabaret, qui, à l’heure qu’il était, était fermé à la clientèle. Je sonnais ...