1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1025)


    Datte: 27/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1019) -
    
    Qu’allait me réserver cette deuxième journée ? … Mario m’indiqua que l’adresse où je devais me rendre se trouvait à quelques pâtés de maisons du sexshop. Je n’aurai donc pas trop de mal à la trouver, et je ne devrais pas avoir besoin de m’adresser à qui que ce soit pour y parvenir. Je pensais donc avoir un peu de répit malgré la tenue de pute que je portais, toujours la même qui ne couvrait pas grand-chose de mon anatomie. Mais bien sûr, ce ne fut pas le cas. Je ne le savais pas, mais même les heures où je quittais un endroit pour aller à un autre, étaient prévues par le Maître, et les « embûches » que je devais trouver étaient toutes programmées. Comme par exemple l’homme qui m’avait déposé devant chez Mario la veille. J’en avais, d’après ce que Mario m’avait dit, pour une quarantaine de minutes de marche. Il m’avait prévenu que j’arriverai largement en avance, mais qu’il ne pouvait pas me garder. En revanche, il me dit également qu’il m’était exigé que je ne change pas la route qu’il m’indiquait pour m’y rendre et que je ne fasse pas d’arrêt en route pour boire un café ou autre. En même temps, comme Walter m’avait déposé à Paris sans argent, je n’aurai de toute manière pas pu me payer quoique ce soit. Je marchais donc d’un pas assez vif. Je me sentais toujours aussi mal à l’aise dans la rue dans cette tenue de prostituée.
    
    Cela devait faire vingt minutes que je marchais. Il me ...
    ... semblait qu’une voiture me suivait, mais je n’en voyais aucune raison (mise à part ma tenue provocatrice) et je me dis que je devais faire une petite crise de paranoïa, dû au fait que j’étais plus rat des champs que rat des villes, et Paris avait tendance à m’angoisser. Pourtant quand la voiture s’arrêta en me coupant la route en montant tout simplement sur le trottoir, je commençais à avoir un peu peur. Peur qui ne fit qu’augmenter lorsqu’un homme en descendit, et s’approcha en quelques enjambées. Sans dire un mot, il me maintint les mains dans le dos et me murmura alors à l’oreille de le suivre sans un mot, que cela faisait partie de mon séjour dans la capitale, exigé par un Noble qu’il ne connaissait pas et dont il n’avait pas retenu le nom, sauf son titre de Marquis et surtout qu’il avait retenu aussi la forte somme d’argent reçue en échange de cet ‘’enlèvement de ma personne’’. Aussitôt je m’apaisais, même si je gardais une petite pointe d’appréhension… Nous ne sommes pas allés très loin, très vite, le chauffeur tourna pour rentrer dans un garage sous terrain privatisé. Il y avait deux hommes dans la voiture, en plus de celui qui était derrière le volant. Tous étaient habillés en noir et ne semblaient pas disposés à la convivialité de par leur impassibilité. La voiture avait des fenêtres teintées qui m’empêchaient de voir ce qu’il se passait à l’extérieur. Mais quand on me laissa descendre, je vis une dizaine de personnes, hommes et femmes, regroupées autour d’une croix de ...
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