1. Le meilleur ami de l'homme (1)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... semence.
    
    Le chien avait une autre ration à lécher et il ne se faisait pas prier pour téter ce lait offert. Qu’est-ce qui se passait dans la caboche de François ? Qui saurait dire comment parfois, les choses pouvaient basculer du délire au fantasme ?
    
    — J’aimerais que… notre, ton, enfin le chien te lèche mon sperme sur les cuisses. Tu serais d’accord ?
    
    — Quoi ? Tu voudrais que… Mais tu deviens fou ?
    
    — Non ! Je… enfin ce serait chouette et bandant de le voir te passer la langue… juste une fois.
    
    — Tu es vraiment fou ma parole. Tu imagines ce que tu me demandes là ?
    
    — Oui ! Je voudrais que tu me suces pendant que… comment tu l’appelles déjà ? Welcome te nettoie des cochonneries que j’ai laissées sur ta peau. Oh ! S’il te plaît, juste une fois, juste pour moi, seulement pour jouer, et une seule fois.
    
    — Et tu me demanderas quoi après ça ? Je… j’ai trop peur de ce qui pourrait arriver. Et s’il me mordait ?
    
    — Mais tu as bien vu qu’il était doux comme un agneau… il est gentil comme tout et puis je suis là…
    
    — S’il te plaît ! N’insiste pas, occupe-toi plutôt de moi…
    
    Annette ne voulait pas et aller plus avant serait sans doute difficile. Elle avait dit non et même si sur le coup, François était déçu, il n’entrait pas dans ses manières de passer outre aux désirs de cette femme qui remplissait toute sa vie. Son érection, accélérée par ses demandes répétées était de nouveau acceptable. Il fit donc recoucher la femme nue, lui délivra le regard et les mains. ...
    ... Welcome avait reculé alors qu’elle aussi le fixait. C’était cette fois les yeux dans les yeux que les deux amants se caressaient. De ses paumes il lui lissait le visage, remontant une frange de cheveux dérangée lors du premier assaut.
    
    Annette suivait de ses petites menottes le torse velu de cet homme qu’elle chérissait. Alors que ses mains venaient constater l’état d’avancement de la tige qui l’avait déjà aspergée, elle referma sur ce joli pieu ses phalanges en étau. Il tressaillit immédiatement et sentit cette chaleur diffuse qu’elle lui distillait partout. Elle se coula sur ce portail laissant de sa langue une trainée luisante, pareil à un rail allant du cou à ces deux tétons bruns. Elle les entoura de toute l’affection dont sa baveuse savait être capable. Les soupirs étaient suffisamment éloquents pour qu’il en oublie l’épisode avec le chien.
    
    D’autres envies montaient en lui, irrépressibles, incontrôlables, infinies, et sans possible retour sur le coup de folie qu’il avait évoqué. Cette nuit-là, celle de son retour, ils firent l’amour une fois, puis deux, puis trois. Annette aimait la manière dont il s’occupait d’elle, elle lui rendait coup pour coup. Et de ces corps à corps joyeux, de multiples scènes toutes différentes, un plaisir, une jouissance sans borne allait et venait au gré de positions très compliquées parfois. Elle avait enfin ce qu’une semaine durant elle avait espéré. Ce retour à la normale…
    
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    Les deux ou trois soirs suivants, Annette ...
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