1. Le meilleur ami de l'homme (1)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    François rentrait et Annette sautait de joie. Une semaine sans son mari et déjà la vie lui avait paru terne et sans attrait. Mais il serait là ce soir et dans sa cuisine la brune de quarante ans chantonnait, tout en mitonnant un de ses petits plats dont elle avait le secret. François rentrait et c’était la fête dans la tête de sa belle femme. Comme l’absence de ce sacré gaillard toujours souriant pouvait la laisser défaite et déconfite ! Mon Dieu ! Le bonheur de le voir revenir enfin.
    
    Son mari… c’était un homme d’une douceur sans égale, un type avec qui elle faisait la route, celle de la vie, celle d’un quotidien toujours plein de surprises et elle en était folle… amoureuse. Bien sûr comme dans tous les couples, il pouvait arriver que de temps en temps un nuage passe dans leur ciel, mais il n’allait jamais jusqu’à celui de leur lit. En souriant, elle songeait à cet adage qui disait que tout se réconciliait sur l’oreiller. Pour eux en tous cas, ça s’avérait toujours exact.
    
    Alors que dans sa cuisine, elle songeait à la soirée à venir, elle imaginait bien qu’après une semaine de jeûne, ils allaient mettre les bouchées doubles et elle s’y préparait depuis… presque le jour de son départ. Elle en était là de ses réflexions quand son portable se mit à jouer le bruit d’un sifflet de train. Cet appel, ça ne pouvait qu’être lui. Son sang ne fit qu’un tour ! Pour qu’il l’appelle depuis le chemin du retour…
    
    La peur avait envahi de suite la grande brune et elle décrocha en ...
    ... tremblant vraiment.
    
    — Allo ! Tu as un problème François ?
    
    — Non, non ma chérie, mais je suis sur une aire d’autoroute et figure-toi que…
    
    — Oui ? Je t’écoute !
    
    Sa voix blanche avait dû paraitre suspecte à son mari qui venait de marquer un temps d’arrêt. Puis après quelques secondes où Annette tentait de reprendre son souffle, il lui expliquait enfin la raison de son appel.
    
    — J’avais besoin d’aller aux toilettes et mon Dieu en m’arrêtant, un chien est venu vers moi. Seule, paumée ou abandonnée la pauvre bestiole ne me lâche plus d’une semelle.
    
    — Il doit bien avoir un maître quelque part non ?
    
    — Ben, écoute… j’ai fait le tour des quatre ou cinq routiers qui sont sur le parking et ils l’ont vu depuis deux jours, mais il ne semble être à personne.
    
    — Oui et ?
    
    — Je t’avoue que laisser là ce pauvre clebs, ça me cause un problème… moral. Mais le ramener à la maison si tu n’en veux pas… je voulais avoir ton avis.
    
    — Comment peux-tu poser la question ? Évidemment que tu ne vas pas le laisser là-bas à crever de faim, tout seul où à risquer de se faire écraser. Nous avons de la place et un grand terrain. Prends-le avec toi et nous verrons lundi avec un vétérinaire d’ici pour qu’il contrôle son tatouage, s’il en a un !
    
    — Bon alors c’est bon ! Je serai là dans une petite heure, enfin nous serons là plus exactement puisque… tu es d’accord.
    
    — Je t’attends… et François ?
    
    — Oui ma chérie ?
    
    — C’est quoi comme chien ?
    
    — La race ? Je t’avoue que je n’en sais ...
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