Le meilleur ami de l'homme (1)
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... sièges. Une fois la truffe sur les genoux de l’un ou de l’autre. Elle avait posé également une couverture pliée en quatre dans un coin près de la porte-fenêtre de la cuisine et ils laissèrent là, l’animal.
Au salon, elle allumait le feu, alors que sur la platine préparée à l’avance un CD de Mozart enveloppait de ses notes mélodieuses les approches plutôt câlines des deux amoureux. Les baisers de François avaient un gout exquis et elle ne se privait pas de les lui laisser recommencer à l’infini. Les tourtereaux tentaient finalement d’en trouver un toujours meilleur que le précédent et la liste s’allongeait. Mais les mains masculines aussi s’impatientaient et bouillaient, piaffaient avant de s’activer dans une musique tout aussi suave que celle sortie du lecteur de CD. La jeune femme soupirait déjà depuis de longues minutes alors que lui était tendu comme un arc.
Ils jouaient à se retrouver, à découvrir sous d’autres angles ce qui avait déjà été étudié depuis des années. Et pourtant chaque mouvement ramenait une partition différente de la précédente, les cordes pincées des corps évoluaient dans une symphonie toujours renouvelée. Elle adorait ces jeux où les doigts devenaient fouilleurs, où les bouches se trouvaient des occupations multiples et les sensations qui, si elles se répétaient, n’apportaient jamais les mêmes effets. À force de préliminaires, les corps et les esprits s’échauffaient.
François avait une envie de choses totalement débridées et elle ne voyait ...
... aucun inconvénient à le laisser faire. Il saurait de toute façon se montrer toujours responsable et n’irait jamais au-delà de ce qu’elle lui accorderait. Alors quand il lui attacha les mains et banda les yeux, elle n’en ressentit que bien plus encore de chaleur. Cette fois il avait décidé du grand frisson et elle devenait sa prisonnière volontaire pour le temps qu’il lui plairait. La confiance en cet homme, celle qu’elle avait depuis les tous débuts de leur histoire, ne s’était jamais démentie. Il n’en avait du reste jamais abusé.
Le déshabillé qui suggérait plus qu’il ne cachait avait atterri sur la table basse du salon et la bouche gourmande de son mari broutait le pré bien en aval du buisson brun. Il fourrageait des doigts dans une caverne à la source abondante, et se délectait du nectar que ses phalanges arrivaient à faire produire à sa victime consentante. Un moment, l’homme leva les yeux vers le feu, mais la bûche avait encore de fortes jolies flammes. Là, il s’aperçut que « chien » avait posé son museau sur le tapis, son corps allongé devant l’insert.
Il regardait avec un air bizarre cette scène d’amour qui se déroulait à quelques centimètres de lui. Elle ne pouvait pas les yeux aveuglés par un bandeau voir que l’animal était si proche d’eux. Mais François ne faisait rien pour chasser la bête qui semblait jouir du spectacle. Annette étendue sur le dos, les mains toujours attachées, avait les cuisses largement ouvertes et son mari, heureux comme un gamin de les ...