Dérapage incontrôlé - Histoires de Sexe

Dérapage incontrôlé

... culotte qu’elle me tend. Sans réfléchir, je la glisse dans ma poche de pantalon, littéralement hypnotisé par cette femme qui se charge de tout. Elle s’assied à demi sur le dosseret du banc, relevant sa jupe pour m’offrir sa chatte :

— Viens vite, j’ai trop envie !

Elle me tend les bras. Je fléchis les jambes pour bien me placer…

— Viens… Viens !

C’est elle qui guide ma bite. Sa chatte est grasse. Ma queue s’y engouffre. Je suis collé à elle. Nous ne faisons qu’un. Elle s’accroche à mon cou.

— Prends-moi. Vite. Vite !

Je la bourre. À moitié suspendue. À moitié assise. La femelle est grande ouverte. Son bassin vient au-devant du mien. Nos chairs claquent, nos jus bruissent. Ses jambes m’enserrent la taille. Elle plane. Ma queue est une cheville vivante. Un arbre me sert d’appui. L’écorce doit lui meurtrir le dos, mais elle ne se plaint pas, au contraire. Elle m’encourage :

— Oui. Oui ! Depuis le temps que j’attendais… Tu n’as pas pensé à moi depuis… Moi si… Plus fort… Je viens. Je viens !

Elle frissonne. Sa jouissance est communicative. Moi aussi je sens ma sève monter. Elle remplit la capote, me privant du plaisir de remplir sa chatte de mon foutre.

— Retournons là-bas avant qu’ils ne s’aperçoivent de notre absence

Je le pense, elle le dit !

Je l’ai pensé très fort, déjà honteux de ma faiblesse.

Mais notre retour ne passe pas inaperçu. Rose et Marc dansent tout près du chemin et nous tombons dessus sans les voir.

Un moment qui dure une ...

... éternité. Le couple qui nous regarde. Mais il y a une différence. Marc qui sourit. Je me demande s’il n’a pas tout manigancé comme Rose l’avait prévu. Mais dans ce cas, eux aussi ont dû…

Pourtant le visage de ma femme n’est pas celui d’une femme coupable qui découvre que son mari a aussi cédé à la tentation. C’est plus un visage avec des yeux "mitraillettes" qui affichent la colère de la femme bafouée.

Elle s’avance vers moi. Un instant, j’ai peur qu’elle me frappe, me gifle, fasse un esclandre. Mais ce n’est pas son genre. C’est pire, une colère rentrée, une voix sèche qui demande :

— Tu m’expliques ?

Une lueur. Je pourrais peut-être arranger le coup ! Une idée !

— Lise avait une envie subite. Tu sais ce que c’est !

Je sais, je suis un salaud. J’utilise lafaiblesse de Rose qui peut avoir parfois des fuites.

— Je comprends.

Ouf de soulagement. Je suis sauvé !

— Et elle t’a confié sa petite culotte pour ne pas la salir !

Son regard pointe vers cette tache rouge qui sort de ma poche de pantalon.

Merde ! Je n’ai pas fait gaffe ! J’allais répondre « Oui », mais d’une certaine façon, Rose me sauve de la honte d’un mensonge ridicule.

— Et j’imagine que toi aussi tu as eu besoin…

Elle se penche vers moi et dans l’oreille me susurre :

— Un coin de chemise sort de ta braguette. Chéri, fais attention, on pourrait penser que…

Elle me laisse en plan.

— Il se fait tard. Vous pourriez nous raccompagner ?

Cette remarque s’adresse à Marc. ...