1. Dérapage incontrôlé


    Datte: 27/12/2019, Catégories: fh, 2couples, parking, boitenuit, Oral préservati, pénétratio, hsodo, échange, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... on oublie ? je demande.
    — Pourquoi oublier ? On oublie les mauvais souvenirs. Ç’a été un mauvais moment avec Lise ? Si mauvais que tu veux tourner la page ?
    — Non, pas mauvais. Un peu court, mais avec un petit goût depéché qui la rendu intense. Et toi ?
    — Tu vois, moi, c’est en femme obéissante que j’ai abordéle sujet. Donc pas de péché…
    —Le sujet. Tu as de ces expressions ! Rose, tu vires coquine. Méfie-toi…
    — Je suis à bonne école. Pervers.
    — Cochonne.
    — Satyre.
    — Salope. Oh excuse-moi c’est peut-être un peu fort…
    — Non, je reconnais… Pour le plaisir… Et le tien en particulier !
    
    Un silence où nous nous regardons :
    
    — Je t’aime.
    — Moi aussi.
    
    Nous nous enlaçons. Nos lèvres se retrouvent, nos langues bataillent. Son corps est tout contre le mien.
    
    — Ils nous attendent, me susurre-t-elle à l’oreille.
    
    Mais rien dans son attitude ne confirme qu’il faut retourner voir les autres. Au contraire elle se fait chatte et se colle encore plus.
    
    Alors je la soulève et l’assois sur la table de pique-nique.
    
    — Louis, que fais-tu ?
    — Au moins, là tu ne risqueras pas de rayer ma carrosserie.
    
    Elle rit.
    
    — Mais eux ?
    — On s’en fout !
    
    Elle se laisse aller en arrière. Ses jambes pendent. Sa robe recouvre à peine le haut des cuisses. J’y passe une main, puis l’autre. Le velouté de la peau est un délice. C’est doux, chaud. Sa chatte est protégée par si peu de tissu. Petite culotte comme celle qui est encore dans ma poche, celle de Lise. À ce rappel, je sens ma ...
    ... verge se tendre. Baiser sa femme après sa maîtresse ! Rose soulève ses fesses pour m’aider. Le triangle va rejoindre celui de ma maîtresse d’un soir.
    
    Le bas de la robe est ample. Il me fait un paravent alors que j’avance ma tête entre ces cuisses qui s’ouvrent pour moi. C’est chaud, humide, odorant. J’entends comme un écho le « Ahhhh » alors que mes lèvres effleurent la bosse magique, collines de chair qui bordent un abîme sombre. Collines habillées de la dentelle des petites lèvres que j’imagine onduler sous le souffle de ma respiration.
    
    — Oh, mon chéri, c’est bon !
    
    J’aime me faire sucer, surtout par Rose qui devient à chaque fois plus vorace, gloutonne de ma pine comme elle l’est de ce gode ceinture qu’elle nous partage avant de me l’enfiler. Petit jeu pervers de celui qui en prendra le plus dans sa gorge. Petit jeu qu’elle gagne toujours.
    
    Mais j’aime encore plus la lécher. Je connais tout d’elle. Je sais, dans le noir complet, trouver le chemin du :
    
    — Ahhhh, lorsque je glisse ma langue dans sa fente.
    — Ohhh, si je dérape vers son petit trou. Un Ohhh qui peut se répéter si j’insiste.
    
    Le chemin du grondement lorsque je m’intéresse à son petit bouton. De la succession de gémissements, de poussées de son ventre vers moi lorsque je le suce, le fais sortir de sa gaine, l’aspire jusqu’à ce que…
    
    Comme tout de suite… Sa main sur ma tête… Ses cuisses ouvertes encore plus… Ses pieds qui se posent sur la table afin qu’elle se cambre encore plus… Et enfin cette ...
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