À vendre
Datte: 27/12/2019,
Catégories:
fh,
couple,
jardin,
amour,
vengeance,
Oral
mélo,
policier,
amourdura,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... par son ombre, je me suis jeté sur le côté, mais pas assez vite. Quant à lui, il a filé tout droit vers la vieille cuisinière en fonte, tête première…
Il se tait, inquiet. Il se demande quelle sera la réaction de la jeune femme. Alors il attend. Elle le regarde toujours, les yeux dans les yeux, comme cherchant à lire en lui. Les secondes filent.
Pour toute réponse, toujours sans le quitter des yeux, elle se relève et dit simplement :
— Tu aurais pu m’en parler plus tôt…
Vivement, il lui attrape le poignet :
— Tu crois que c’est facile à dire ? Et puis, j’avais trop peur… trop peur de te perdre…
— De me perdre ?
— Oui… de te perdre…
À sa grande surprise, Varina lui sourit :
— Je sais très bien que tu n’es pas un meurtrier. Je comprends ta position, ce que tu as pu penser, mais j’aurais aimé que tu me le dises sans que je te tire les vers du nez !
— Mais… je…
— C’est plutôt en ne me disant rien que tu risques de me perdre !
— Et… et c’est le… le cas ?
Elle se penche sur lui, lui caresse la joue de sa main libre :
— Non, pas aujourd’hui, ni demain… Tu veux bien libérer mon poignet, s’il te plaît ?
— Ah… euh oui…
Elle s’éloigne de lui, ayant repris le panier à linge. Quelques mètres après, elle se retourne :
— Moi aussi, je n’ai pas envie de te perdre, alors ne me cache plus rien à partir d’aujourd’hui. Compris ?
— Oui, ma chérie… Compris.
Puis comme si de rien n’était, elle suspend le linge sur le fil.
--ooOoo--
Elle fait glisser ...
... ses mains le long de son torse, jouant avec les boucles des poils. Puis, elle se recule sur les jambes de son amant, penche la tête et commence à tracer des fins sillons de salive avec le bout de sa langue. Il soupire d’aise.
Puis sans crier gare, elle se saisit du sexe dressé, l’avale et lui fait subir mille tortures très agréables. Il se cabre sous l’intensité des sensations, les doigts crispés sur les draps. Elle s’active plus encore, infernale, fière de sa puissance, de son ascendance sur son amant, son homme rien qu’à elle, sa propriété privée. Une flamme étrange naît en elle, lointaine…
Carol serre les dents, il a du mal à se contenir face à cette attaque en règle, il lance :
— Arrête un peu, j’ai du mal à me contenir !
— Ah hon ? (ah bon)
— Oui, arrête, s’il te plait !
— Ah hes-hsion ! (pas question)
Et elle s’acharne plus sur lui, sa langue chaude et insidieuse sur le gland frémissant, ses lèvres sur la hampe tiède et humide de salive, ses doigts jouant avec des testicules pleins. Elle cherche les grosses veines qui courent le long de la tige de chair, soulignant leurs gonflements, augmentant leurs palpitations.
Il jette sa tête en arrière, il voudrait fuir, mais il ne peut pas, c’est trop bon ! Il sait qu’il a perdu dans cette bataille, il se vengera autrement lors de la prochaine en la faisant crier de plaisir. Néanmoins, il essaye de résister, orgueilleusement, même s’il sait pertinemment qu’il va céder sous peu.
La bouche avide rivée sur son ...