1. Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (7)


    Datte: 25/12/2019, Catégories: Trash, Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... minute. Bêtement, j’oubliai de prendre une photo, pour valider cette sixième pénétration.
    
    Lors de la dernière pause, je m’éloignai pour trouver un coin discret. Je m’aperçus vite que l’Allemand qui avait fini en dernier dans la bergerie me suivait. Il sortit sa queue en vitesse, enfilant un préservatif.
    
    - J’ai beaucoup aimé la fin, dans… quand je suis allé dans l’autre trou, anal, mais je n’ai pas pu en profiter longtemps… S’il te plait…
    
    Je lui tendis mon téléphone, me mis face à un arbre, m’appuyai dessus et lui tendis mes fesses (j’avais déjà baissé mon short pour ma pause-pipi). Il m’encula rapidement : j’étais encore bien élargie. Il s’activa, vite, en me tenant par les hanches, sans vraiment se soucier de moi. En moins d’une minute, je le sentis prêt, vu ses mouvements accélérés. Je contractai mes fesses. Il jouit tout de suite, dans un cri rauque. Il se retira rapidement et remit son short.
    
    - Merci. C’était vraiment bon. On ne dira rien aux autres.
    
    Je relevai mon short et regardai les quelques photos qu’il avait prises : c’était parfait, on voyait sa queue qui me sodomisait, et on voyait bien que ce n’était pas dans la bergerie : Fred verrait que ce n’était pas la même sodomie. Je me dépêchai d’envoyer les photos exigées, une vidéo qui montrait bien la double pénétration et celle où l’Allemand qui me baisait au sol me sodomisait par erreur. Fred allait aimer celle-là, sans doute, surtout le sursaut de mes jambes et mon cri… J’espérais qu’il se montrerait ...
    ... moins brutal avec moi le soir, en me voyant obéissante, même s’il n’y avait que six pénétrations.
    
    La rando se termina sans autre écart.
    
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    Lorsque nous arrivâmes à Vizzavone, Rémi, Fred et Thomas nous attendaient au camping. Le réseau téléphonique était excellent. Rémi vint rapidement me voir et m’entraina à l’écart. Je lui expliquai rapidement ce qui s’était passé en lui disant, d’un air las, qu’il allait devoir bien s’activer cette nuit pour moi… Je crois qu’il ne savait plus que dire, face à cette situation qui se prolongeait et empirait. Je repris : « Laisse-moi gérer. J’ai une idée, et tu peux m’aider… Mais pour le coup, il va vraiment falloir y mettre du tien, comme moi… »
    
    Nous rejoignîmes les autres. Les Allemands proposèrent un resto pour fêter la fin de la rando et « la journée » (gros clin d’yeux à mon égard). J’acceptais. Ils passèrent le repas à parler à moitié français, à moitié allemand, à m’empoigner les seins (nous étions dans une alcôve, plutôt à l’abri des regards).
    
    L’un d’eux (celui que j’avais sucé) souleva mon débardeur pour me lécher et me mordiller, en me mettant un doigt dans le cul (que je sentis à peine), puis m’assit sur lui en riant et en continuant à malaxer ma poitrine. Tandis que les autres continuaient à discuter et à un peu me peloter, il sortit discrètement sa bite, enfila je ne sais comment un préservatif (ils tenaient tous beaucoup à la capote, je ne pouvais que les approuver) et me baissa maladroitement ...
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