Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (7)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... baisait y allait avec force, me plaquant à chaque fois contre le premier Allemand.
— Ecarte un peu plus les jambes, s’il te plait, tu es un peu serrée…
— J’écartai donc davantage les jambes. Il se mit à haleter et à me besogner vigoureusement. Les deux autres se branlaient toujours. Il finit par jouir en grognant. Il se retira, me fit une bise et me dit
— Merci, c’était bon avec toi
— .
— Le troisième Allemand se présenta et me pénétra de la même façon, sans grande passion, mais avec plaisir. Celui contre lequel je m’appuyais venait de passer une main entre lui et moi. Je sentis alors sa queue dénudée contre mes fesses. Elle était déjà bien en érection. Il commença à la frotter contre moi, tandis que l’autre continuait à me baiser, à priori loin de jouir.
— Et ça, tu veux bien ?
— Je… Oui…
— Très bien. Ca me plait beaucoup, tu sais ! Tu me plais beaucoup aussi.
— Il décolla son bassin, fit tout un trafic (je devinais un préservatif enfilé) et pointa son gland sur mon anus. Les deux autres Allemands, celui qui avait déjà joui et celui qui se masturbait, changèrent de position pour mieux voir. Mon enculeur appuya. Après la double pénétration de Fred et Thomas et les deux sodomies de Rémi, il entra sans problème. Il dit quelque chose en allemand ; les autres rigolèrent, l’encourageant manifestement, et me firent de grands sourires, pouce en haut.
— Il dit que tu n’es pas très serrée, il aime bien ça, avec son gros engin il a toujours peur de ...
... faire mal…
— Son
— gros engin
— me pilonnait méthodiquement le cul, tandis que l’autre Allemand m’enfilait la chatte. J’étais ballottée entre les deux, qui s’étaient synchronisés pour me pénétrer en rythme. A chaque fois un grand coup pour me pénétrer, qui me prenait en sandwich serré entre les deux et me soulevait au-dessus du sol (mes pieds étaient à une bonne dizaine de centimètres au-dessus), un retrait lent pendant lequel, manquant d’appui, je tombais presque même si tous les deux me tenaient, puis à nouveau un grand coup qui me remplissait totalement : ils étaient bien plus grands que moi, je me retrouvais à chaque fois empalée sur leurs deux pénis, en hauteur. Le dernier Allemand prit ma main et la posa sur son pénis, me faisant le masturber. Celui qui me fourrait la chatte finit par soulever mes jambes et les passer autour de sa taille. Mon enculeur me saisit sous les fesses pour m’imprimer le bon rythme.
— Ils accélérèrent tous.
— Je remarquai alors que l’Allemand qui avait joui était sorti ; le dernier, le guetteur, avait pris sa place. Il saisit une vieille chaise dans la bergerie et s’avança vers moi, bite tendue. Je ne comprenais rien à ce qu’il fabriquait. Il mit la chaise à mes côtés et monta dessus. Il me présenta alors sa queue. J’ouvris la bouche. L’un des Allemands grogna quelque chose. Je reconnus « française
dans ce qu’il dit. Les autres marmonnèrent une approbation, mais haletaient trop pour vraiment répondre, même celui que je branlais. ...