Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (7) - Histoires de Sexe

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (7)

... Rémi, les fesses à l’air, jambes écartées, la queue encore pleine de foutre reposant sur une des cuisses de Rémi, une main l’agrippant au cou, l’autre maintenant une bouteille de bière partiellement insérée dans l’anus de Rémi.

Deux Allemands, endormis la bite à l’air, étaient allongés près de la tête de Rémi : ils avaient arrosé son visage et ses cheveux bruns de sperme. Je fis un « psssst » ! dans leur direction. Rémi se dégagea avec difficulté et fit rouler Thomas sur le côté. Avec les affaires de Thomas et une autre bouteille d’alcool qui se trouvait là il s’essuya soigneusement l’anus, les fesses, les cuisses, la bouche, le visage, les cheveux. Puis il releva son boxer et son short en silence. Tremblante, je voulus le prendre dans mes bras mais il me fit signe de le suivre dans la tente. Nous chuchotâmes.

- Alors, Emilie ? Le téléphone ? Tu as pu le faire ?

- Oui, mais toi ? qu’est-ce qu’il t’a fait, ce salaud ? Tu n’étais pas obligé d’aller jusque-là ! Le plan était que tu embrasses Thomas et que tu ailles éventuellement un peu plus loin pour détourner l’attention de Fred, mais jusque-là, non…

- Si… Les Allemands n’ont pas été franchement impressionnés quand je l’ai embrassé, et je ne supportais plus d’entendre tes cris et supplications lorsque Fred te sodomisait alors j’ai commencé à le sucer…

Je le serrai dans mes bras en silence. Je ne pus m’empêcher de penser : « Et ça t’a bien fait bander, aussi, sans doute, d’imaginer Fred sur moi… » Il me ...

... caressa doucement les seins, griffés et rouges, que dévoilait mon débardeur déchiré, puis les lécha avec douceur, longuement. Je passai mes mains dans ses cheveux. Il reprit ensuite :

- Fred est alors sorti de la tente. Mais il n’avait pas l’air de vouloir rester pour regarder, alors qu’il te fallait du temps pour tout effacer. Du coup j’ai laissé faire l’Allemand quand il a mis sa queue contre mon cul. Puis Thomas. Je me suis dit que le spectacle retiendrait bien Fred quelques minutes de plus. J’ai écarté mes fesses. Ça a marché, il était vraiment excité de voir ça. L’Allemand n’a pas tenu bien longtemps, il était trop bourré, il a vite giclé… Ce petit con de Thomas, par contre, était plus endurant. Et il a des muscles, je n’ai pas réussi à me dégager une fois que Fred est retourné dans la tente. Il a fallu attendre… la fin.

Je me mis à pleurer. Etrangement, ce qui était arrivé à Rémi me touchait plus que ce que les autres m’avaient fait. Je me sentais aussi coupable d’avoir été excitée en imaginant la sodomie qu’il subissait, qui me rappelait la mienne.

- Chut… ma puce… Ils t’ont fait bien pire, bien pire… Je suis content que ça ait marché… Et tu sais quoi ?

- … Quoi ?

- On se fera une petite séance, tous les deux, pour effacer tout ça, comme on l’a si bien fait jusqu’à présent…

Je souris et reniflai.

C’est alors que j’entendis Fred, dehors, secouer un Allemand et emprunter son portable. Merde. Heureusement que je l’avais mis en silencieux.

Je sentis une ...