L'éducation de Marie (1)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: yphos, Source: Xstory
... hautes études de commerce, mais a dû s’expatrier de sa région natale pour trouver un travail décemment rémunéré. Tout comme moi, lui dis-je...
D’après certaines de ses indications, je déduis qu’elle doit avoir 24 ou 25 ans et, qu’apparemment, elle s’est attachée à bosser dur, et cela depuis son enfance. Ses parents très stricts, auxquels elle heureuse d’échapper désormais, l’on toujours obligée à privilégier le travail, aux sorties.
Quand, avec le plus de tact possible, je cherche à savoir si elle a un petit ami, elle me rétorque : « Pas en ce moment ! Pas depuis que je suis ici... »
Voulant dissiper sa gêne, je lui propose d’essayer de reprendre la route. Elle accepte volontiers et un sourire se dessine enfin sur ses lèvres. Je pense qu’elle est reconnaissante que je n’insiste pas à entrer davantage dans sa vie privée.
Nous nous mettons en route et, pour ne prendre aucun risque, je conduis deux fois plus prudemment.
Périodiquement, elle essuie la buée du pare-brise avec un chiffon et ça finit par nous amuser tous les deux. Heureusement, nous allons vers la même ville, mais pas dans le même quartier.
Nous convenons de nous tutoyer assez rapidement et, malgré les conditions climatiques épouvantables, nos habits trempés, une visibilité trop réduite pour se sentir en sécurité, nous arrivons à éclater de rire à tout bout de champ.
Outre que ça me fait plaisir que ses contrariétés se soient dissipées, je me sens en totale harmonie avec cette inconnue. C’est ...
... curieux, mais je n’ai jamais éprouvé cela avant et pourtant, des filles... j’en ai connues !
Une fois arrivés devant chez elle, Marie me propose de partager un thé avec elle, je lui rétorque préférer un chocolat chaud.
Nous partons dans un nouvel éclat de rire...
Je suis tellement trempé que je n’ose pas pénétrer dans son petit studio. Je me réfugie dans l’espace kitchenette, où je m’assieds face à une petite table, alors que Marie me dit avoir besoin de se changer tout de suite.
Durant sa brève absence, j’explore du regard son espace intime, chichement décoré. Il est vrai que si elle vient de s’installer, elle ne dispose pas de grand-chose. Comme le ce fut pour moi à mon arrivée dans cette ville.
Marie revient ceinte d’un peignoir rose en éponge. Même dans cet accoutrement, je la trouve ravissante. La peau de ses mollets semble lisse comme du satin, je meurs d’envie de la toucher pour vérifier, mais me ressaisis.
Elle me tend un serviette et je m’en frictionne la tête, puis me coiffe de mes cinq doigts écartés, ce qui la fait sourire à nouveau.
Marie propose ensuite de préparer de quoi nous réchauffer avec un bon chocolat, il est vrai que je me sens glacé jusqu’aux os et qu’il doit en être de même pour elle.
Pour éviter de la regarder alors qu’elle me tourne le dos pour préparer les boissons chaudes, je fixe mon regard vers la fenêtre. J’ai une folle envie de revoir ses jambes, mais je sais par expérience, que les femmes ont des yeux derrière la tête ! ...