-
La bourgeoise et le marabout (43)
Datte: 24/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory
... comme une crêpe pour la mettre à quatre pattes sur le lit. Un quadragénaire sportif se glisse sous elle et Marie-Madeleine s’empale aussitôt sur ce pal qui pointe vers le 7e ciel. Un jeune beur réussit à être plus rapide que les autres et frotte déjà son gland violacé entre les fesses de la belle. Cette dernière remue la croupe et la voilà enculée d’un coup sec. Deux blacks sont positionnés devant mon amie qui les suce alternativement. Les autres se branlent d’une main, lui caressent les tétons de l’autre en espérant sans nul doute que leurs copains vont vite céder la place. Dans ce salon se joue en quelque sorte une variante érotique du jeu des chaises musicales. Marie-Madeleine vient d’être bien remplie par les deux premiers mâles qui cèdent la place, enfin ! dirons certains, aux suivants. Mon amie gémit les yeux fermés, certainement pour mieux apprécier les vagues de jouissance qui parcourent son corps. On dirait vraiment une salope qui n’a pas eu sa dose de sexe depuis plusieurs semaines. Les mouvements de son corps accompagnent les coups de boutoir de ceux qui se font sucer et de ceux qui lui défoncent la chatte et le cul. Je sais que François et Ferdinand sont en train de nous mater de l’autre côté de la vitre avec les quelques autres voyeurs. Il est temps de tomber le masque ! Je décide donc de me jeter dans la mêlée. A peine suis-je à quatre pattes sur le lit, qu’un homme me prend. Son sexe est bien tendu et je peux enfin me laisser aller. J’arrive à ...
... rapprocher mon visage de Marie-Madeleine et je me mets à sucer avec elle les bites offertes. Par moments, mes lèvres effleurent celles de mon amie qui ne semble nullement gênée. Elle est dans un état second et c’est sans difficulté que j’arrive à lui retirer son masque. Je jouis entièrement en imaginant la surprise de Ferdinand découvrant les traits de sa femme sous le masque de cette salope qui se livre à cette dizaine de mâles en rut. Mon amie semble ne s’être aperçue de rien et elle continue à se faire prendre par toutes les queues qui le souhaitent. Ce sont maintenant deux blacks qui profitent de sa chatte, et j’imagine que Ferdinand ne doit pas en revenir de voir sa femme supposée frigide se faire fendre en deux par deux belles bites d’ébène. Marie-Madeleine doit particulièrement apprécier cette double pénétration vaginale, car sa bouche est grande ouverte, ses yeux sont révulsés et ses cris de jouissance résonnent dans la pièce. Je me demande ce que peut ressentir Ferdinand en voyant sa femme ainsi saillie par des inconnus. Nul doute que cela doit être un mélange d’excitation et d’humiliation. J’imagine son dilemme : sortir sa femme de ce salon pour la retirer des griffes de ces mâles lubriques ou bien entrer dans ce salon pour participer à la débauche de sa femme. Mais, quelle que soit son envie, la porte est bien fermée à clé et il ne peut qu’assister, impuissant, à cette séance de fornication dont sa femme est l’objet. Pendant une bonne heure, Marie-Madeleine va ...