1. La bourgeoise et le marabout (43)


    Datte: 24/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... distance le regard lubrique. Il y a là un petit salon télé avec quatre ou cinq canapés de deux ou trois places chacun. Une demi-douzaine d’hommes est avachie dans les coussins, et se masturbe en regardant l’écran où une belle blonde est aux prises avec deux beaux étalons. Nous nous glissons entre les canapés et nous voici de nouveau à genoux devant deux hommes choisis au hasard. Alors que je regarde François et son ami en faisant passer ma langue sur mes lèvres, Marie-Madeleine est déjà prosternée devant la queue qui se dresse devant elle. Nous voici donc de nouveau à l’ouvrage pour apaiser ces deux inconnus qui n’en attendaient certainement pas tant. Une fois qu’ils se sont vidés, Marie-Madeleine passe au canapé suivant où elle embouche la grosse queue d’un black.
    
    Faisant semblant de choisir ma proie, je me dirige vers le canapé où sont installés mon mari et Ferdinand. Je me mets à genoux devant ce dernier et je commence à le masturber d’une main et à lui caresser les bourses de l’autre. Il bande rapidement et mes lèvres se referment autour sa tige. Il rejette le corps en arrière et se laisse aller. C’est bien, je veux le vider de tout son foutre pour qu’il ne puisse plus rebander ensuite pendant un long moment. Je m’applique, je tète son gland, avale en entier sa tige, lui mordille les bourses et j’aspire longuement tout son jus lorsqu’il se répand dans ma bouche. Il ne bouge plus et me laisse lui essorer les bourses jusqu’à la dernière goutte. Alors que je me relève, ...
    ... il reprend ses esprits, et dit à François:
    
    — Quelle salope ! Elle m’a complètement vidé !
    
    François lui répond :
    
    — C’est dommage, tu ne vas pas pouvoir honorer ta femme en rentrant ce soir.
    
    L’autre lui rétorque :
    
    — Ce n’est pas grave ! Elle est aussi froide qu’un pain de glace !
    
    Une fois relevée, j’attends que Marie-Madeleine en ait terminé avec la queue du black puis je l’entraîne avec moi vers l’un des salons de l’étage. Aussitôt, la plupart des hommes se lèvent à leur tour et nous emboîtent le pas. Je pousse mon amie dans un salon aux couleurs vives, je fais entrer sept ou huit mâles avec nous, mais je veille à ce que François et Ferdinand restent à l’extérieur. Je ferme à clé derrière nous, mais j’ouvre le rideau de la fenêtre donnant sur le couloir. Pour avoir déjà fréquenté les lieux, je sais que c’est une vitre sans tain qui permet à ceux restés dehors, puisque le salon est très éclairé et le couloir est dans la pénombre, de jouer les voyeurs et de profiter pleinement des joutes érotiques qui se déroulent dans le salon. Je joue un peu la timorée et les mâles présents dans la pièce comprennent vite qu’ils ont intérêt à se concentrer sur Marie-Madeleine qui semble beaucoup plus coopérative.
    
    La voici déjà allongée sur le lit et entourée des hommes qui la caressent de partout. Mon amie gémit sous les caresses, branle les queues qu’elle peut saisir et même sucer celles qui passent à portée de sa bouche gourmande.
    
    Deux hommes la soulèvent, la retournent ...
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