La bourgeoise et le marabout (43)
Datte: 24/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... queue et lui réponds :
— Tu es un amour chéri. Profite bien de moi ce soir, car peut-être que je serais moins disponible pour toi là-bas samedi...
Il me donne de grands coups de queue et, avant de se répandre en moi en criant son plaisir, il a tout de même le temps d’ajouter :
— Tu es une adorable salope ! Je suis pressé de voir ce que tu nous réserves.
Le lendemain, profitant de la pause du midi au travail, je m’empresse de téléphoner à mon amie pour mettre en place la suite :
— Bonjour, Marie-Madeleine, tu vas bien ?
Après quelques banalités échangées, je lui dis :
— Nos maris sont pris samedi après-midi par le tennis, que dirais-tu d’en profiter un peu avec moi ?
Elle hésite quelques instants, puis me répond :
— Oui, pourquoi pas ! Ferdinand ne veut jamais sortir, mais je ne vais tout de même pas rester cloîtrée tout le temps. Que proposes-tu ?
Sans trop rentrer dans les détails, et surtout sans lui parler de nos maris, je lui dis que nous irons dans un établissement à Pigalle où il est possible de se détendre tranquillement et plus, si le cœur nous en dit.
Je l’entends rire dans son téléphone avant qu’elle me dise :
— Tu m’as habituée à tellement de surprises ces dernières semaines que je m’attends à tout avec toi. Mais je te fais confiance.
Je conclus en lui disant :
— Je te mettrai un SMS vendredi soir. Grosses bises et à samedi.
Deux jours plus tard, après avoir appris de François que lui et Ferdinand arriveraient sur les ...
... lieux vers 17h30 après leur après-midi tennis, j’envoie comme convenu au téléphone un petit SMS à Marie-Madeleine « rendez-vous métro Pigalle demain 17h00. Fais comme moi, apporte un loup pour te cacher le visage. Ce sera plus excitant ! Bises ».
Le lendemain, nous voici toutes les deux sortant du métro Pigalle. Je propose à mon amie de prendre un café au Mac Do pour que je lui dise quelques mots sur notre sortie. Lorsque nous quittons le café, elle sait que nous allons dans un lieu coquin où nous pourrons nous détendre dans le jacuzzi avant de profiter éventuellement des plaisirs du lieu. Nous tenant par le bras, nous traversons le boulevard, passons devant le Sexodrome non sans jeter un œil aux tenues coquines des mannequins dans la vitrine, puis nous entrons juste après au Star City, et nous nous dirigeons vers le vestiaire. Nous en ressortons le visage caché par un loup noir et le buste ceint d’une serviette de bain. Tenant toujours Marie-Madeleine par le bras, je l’invite à me suivre pour visiter les lieux.
Je devine qu’elle est un peu inquiète, mais au fur et à mesure de notre visite des deux étages de l’établissement, elle se décontracte et c’est avec un visage radieux que nous nous installons au sous-sol dans le jacuzzi bouillonnant. Avec nos masques sur le visage, nous avons l’air de deux bourgeoises en goguette cherchant à ne pas être reconnues dans un tel lieu. Les hommes présents nous matent et la situation est des plus excitantes. Je remarque que le regard de ...