Les confidences d'un sac à main (troisième partie)
Datte: 24/12/2019,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
fdomine,
photofilm,
fsodo,
attache,
Humour
bourge,
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
Les confidences d’un sac à main (troisième partie)
Résumé des chapitres précédents : le sac de Marie-Ange a été volé ; il est retrouvé dans un parc par deux étudiants, Diane et Jérôme. Ce dernier propose de le rendre à sa propriétaire.
Jérôme a passé une bien mauvaise nuit. Diane a vomi tout l’alcool qu’elle avait ingurgité. Ils se sont disputés jusque très tard. Il croit aussi que l’amitié de Martin est plus que douteuse. Enfin, ce samedi matin, il va rendre ce maudit sac qui lui semble la cause de tant de désagréments. Et encore il le rend parce qu’il a promis de le rendre et qu’il est un homme de parole, mais s’il s’écoutait, il jetterait ce truc en cuir dans la Seine. Il sonne. Marie-Ange lui ouvre. Jérôme ne dit pas un mot et se contente de montrer l’objet. Marie-Ange est aux anges. Jérôme est marri, car elle le fait entrer quasiment de force dans l’appartement alors que lui prétendait s’en aller le plus vite possible. Il se renfrogne dans sa mauvaise humeur quand il entend qu’on va lui préparer un café. En plus du café, il a droit au récit détaillé du vol, mais également à quelques visions étonnantes.
Marie-Ange, il vient juste de le remarquer, est habillée d’un déshabillé vaporeux comme on dit. Cela ne semble pas aussi invraisemblable, puisqu’on est le matin. Mais le soleil qui traverse la pièce fait en sorte que le déshabillé porte bien son nom. Il n’en croit pas ses yeux et s’aperçoit que le corps de la jeune femme est complètement apparent. Il n’écoute ...
... quasiment plus ce qu’elle raconte d’une voix suave. Il ferme un instant les yeux, enivré par le parfum qui enveloppe cette femme. Quand il les ouvre de nouveau un autre spectacle s’offre à lui. Marie-Ange n’a pas fait attention que son entrejambes est visible et Jérôme n’en peut plus. Il en renverse quelques gouttes de café. Aussitôt la maîtresse de maison le conduit à la salle de bain pour qu’il se nettoie.
Pendant ce temps, elle reprend possession de son sac, en constatant malheureusement qu’il a souffert : des accrocs, des taches, des coutures un peu abîmées. Elle le prend et le laisse, le regarde de près, puis de loin. Peut-elle encore vivre avec lui ? Bien sûr, elle n’a pas oublié qu’il est le compagnon de tant de virées. Mais il faut tenir son rang, son standing. Non, franchement, elle ne peut plus sortir avec ce sac qu’on dirait d’occasion. Elle le donnera à une association caritative. Il peut encore faire le bonheur de quelque dame modeste, mais coquette. Mais il ne faut pas être ingrate, pense-t-elle. Si je ne peux plus rien pour ce pauvre sac, je vais être reconnaissante envers celui qui me l’a rapporté.
Elle entre dans la salle de bain alors que Jérôme est encore en train de s’activer sur son tee-shirt. Elle s’assoit sur le siège du WC et urine très tranquillement. Jérôme la regarde ; elle lui sourit et lui explique que la nature n’attend pas. Elle avait très envie. Et elle continue en lui disant qu’elle ne résiste à aucune envie. Vous voyez, lui avoue-t-elle, ...