1. Le Prince de Chair Ch. 04


    Datte: 23/03/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byBen_Clover, Source: Literotica

    ... par l'excitation.
    
    Un sourire fendit le visage d'Arlor. Ce traitement ne la laissait pas indifférente.
    
    — Prenez mon pénis en bouche, dit le prince qui n'y tenait plus. Je veux voir vos sublimes lèvres se rendre utile.
    
    La Duchesse écarquilla les yeux. Par réflexe, elle s'écarta.
    
    — Ce... ce n'était pas ce qui était prévu dans le contrat. Vous... vous ne pouvez pas me pénétrer.
    
    Arlor agrippa un sein à pleine main pour le presser à nouveau contre sa verge. Il adressa un sourire carnassier à la Duchesse. Voilà donc pourquoi elle avait accepté de signer le contrat sans guère en négocier les clauses. L'ingénue s'était imaginé que, s'il ne pouvait porter atteinte à sa virginité, leurs jeux s'arrêteraient à de banales caresses.
    
    Il était grand temps de la détromper.
    
    — Pourtant, les termes son clairs. Vous les avez lus. (Le prince pointa de sa main libre le bloc de marbre sur la table basse.) Il y est stipulé « Le prince Arlor ne mettra pas la main sur la pureté de la Duchesse Caeda ». Or, à moins de me fourvoyer, votre bouche n'est pas le siège de votre virginité.
    
    Les yeux de braise de la duchesse s'écarquillèrent avant de fixer le sol, ne dissimulant rien de ses délibérations intérieures. Le prince les imaginait sans peine. Que risquait-elle si elle refusait? Les dettes de sa famille seraient toujours là. Et puis, quitte à avoir été dévorée sans ménagement du regard et touchée par des mains qu'elle haïssait, était-il raisonnable d'abandonner maintenant?
    
    — Les ...
    ... plaisirs de la chair ne se résument pas à ce qui se trouve entre vos cuisses, dit Arlor pour combler le silence. En donner avec la bouche est quelque chose de très répandu à la cour éternelle. Au vu des tenues que portent les dames de votre royaume et votre sacralisation de la virginité, j'aurai cru que les mœurs Aegyriennes vous y encourageaient. D'ailleurs, en parlant d'Aegyr, connaissez-vous Dame Ochidna?
    
    Déboussolée par la question, la duchesse se contenta d'acquiescer.
    
    — Bien sûr que vous la connaissez. C'est une de vos amies n'est-ce pas? Savez-vous que je l'ai choisie uniquement pour sa bouche? Elle à un corps agréable, il est vrai, mais c'est sa petite bouche en cœur et ses belles lèvres pleines qui lui ont valu les honneurs de mon attention. Chaque fois qu'elle me souriait, je voulais les écarteler de mon sexe. Aussi, après lui avoir arrangé un mariage avec un prétendant de grande lignée, c'est ce que j'ai fait. Régulièrement. Elle a un talent certain.
    
    Le Prince observa la Duchesse à ses pieds, son pénis palpitant de plus en plus fort contre sa lourde poitrine. Elle gardait ses lèvres pincées, accentuant leur rougeur. Invitante.
    
    — Elle ne vous en a jamais parlé?
    
    Les muscles de la mâchoire de Caeda saillirent, mais elle se tut.
    
    — Je suppose que non. Et bien que diriez-vous d'être initiée à cet art à votre tour? Peut-être même que, comme elle, vous y prendrez goût.
    
    L'image de Dame Ochidna, ses lèvres pleines englobant son pénis, ses larmes traçant ...
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