1. L'effet string !


    Datte: 21/12/2019, Catégories: fh, hplusag, inconnu, magasin, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, init, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... masculin, que des boxers ou shorties rarement audacieux. Je crois qu’un jour, guidé par mes envies et sans rien m’interdire j’irai flâner dans une de ces boutiques des grands boulevards en évitant toutefois les supermarchés du sexe. Peut-être pourrai-je y trouver des sous-vêtements très osés pour homme, pour moi, qui permettraient à mon membre d’être toujours à l’air libre enfin presque.
    
    Voilà, mon doigt est au contact de ce minuscule morceau de tissu. Quelle transparence ! Ce n’est pas possible, c’est comme s’il n’existait rien entre ma peau et mes yeux, une nudité presque totale, bien au-delà de ce que j’imagine dans tous mes fantasmes ou de ce que je découvre sur des sites de vente. Il faut absolument que je confirme cette impression et que je constate quel effet il produit si je le tends au bout de mes bras. Incroyable comme il est léger et fin ! Toujours seul, je passe donc à l’acte. Je le décroche, me tourne vers la gauche, cherchant la meilleure lumière possible. C’est à cet instant que ma jambe gauche heurte un obstacle imprévu, une forme sur laquelle je bute, quelque chose de mouvant qui tout en absorbant mon choc me repousse. Sans pouvoir me retenir à quoi que ce soit, je perds l’équilibre, je vacille et le sol se dérobe sous mes pieds. Je bascule lourdement, mes bras impuissants à venir à mon aide étreignent le vide. Je roule sur une bosse monumentale qui s’esquive aussitôt, accélérant ma chute. Je tombe lourdement par terre. Je ne sais pas quel bruit cela a ...
    ... produit, je me retrouve au sol abasourdi, aussi sonné que si j’avais encaissé un coup de poing bien ajusté. Une douleur aiguë irradie mon dos et j’ai le souffle coupé. Il n’y a guère que ma queue à avoir conservé de sa superbe ainsi que le string en tulle que je tiens solidement au bout de ma main droite.
    
    — Monsieur ! Monsieur ! Vous ne vous êtes pas fait mal ? Excusez-moi, je ne vous avais pas vu. Monsieur ! répète-t- elle inquiète.
    
    J’écarquille les yeux. D’où me parvient cette voix douce qui atténue un peu ma souffrance ? Où suis-je donc ? Qu’est-ce que je fais par terre ? Je dois être ridicule. Je lève la tête avec effort croyant être brisé en mille morceaux, elle est là, à côté de moi, accroupie, les jambes largement écartées, sa jupe plutôt sage est remontée très haut sur ses cuisses. Mes yeux… Ah, ceux-là ! Sans qu’ils le cherchent, ils rencontrent ce qu’ils adorent tant découvrir à l’improviste, son string. Il n’est pas aussi transparent que le tulle blotti au creux de ma main, mais il se révèle quand même osé à souhait. Bien qu’encore groggy j’entrevois les contours d’un sexe féminin qui me paraît hors norme, une vulve hors du commun, surmontée d’une toison blonde taillée à la perfection tout en étant abondante, comme un buisson planté au milieu d’un jardin. Le tissu tendu peine à contenir cette chair vivante et opulente, j‘ai comme l’impression qu’elle palpite et qu’elle est déjà imprégnée d’une légère humidité. Cette vulve ainsi abandonnée à mon regard me ...
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