1. L'effet string !


    Datte: 21/12/2019, Catégories: fh, hplusag, inconnu, magasin, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, init, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... sensuelle, cela me plait beaucoup et je vais entamer la mienne.
    
    Voilà, sa main enferme ma verge et la comprime doucement freinée qu’elle est par toutes les couches de tissu qui protègent encore ma queue. Mon gland est bien au creux de sa paume et elle perçoit déjà, bien que lointaines, toutes les palpitations qui le parcourent, aboutissent à son sommet et refluent faute de ne pas avoir pu s’échapper.
    
    — Imaginez, même sous toutes ces épaisseurs j’ai comme l’impression qu’il me brûle la peau. Mais ainsi caché il va s’éteindre immanquablement, aucun souffle ne va l’attiser, je viens à son secours… Et vous, n’en profitez pas pour vous enfuir, que vos doigts poursuivent leur danse magique et endiablée, qu’ils m’affolent ! Qu’ils passent et repassent, qu’ils me frottent, comme cela, voilà, tout doucement, plus lentement encore, qu’ils effleurent à peine le tissu de mon string, qu’ils courent légèrement sur la peau de mes lèvres… Là, sans appuyer, sans s’enfoncer, sans se montrer plus audacieux, qu’ils n’insistent pas plus. Ce n’est pas le bon jour pour m’explorer. Dommage ! Qu’ils trottent sur mon petit triangle, sur ma colline, qu’ils y jouent mais qu’ils ne s’y perdent pas !
    
    Je ne me fais pas prier, refrénant toutefois mon désir impatient d’écarter encore plus son string qui parfois me gêne et m’empêche de ressentir la vie qui irrigue son sexe. Elle fait descendre la fermeture éclair de mon pantalon, elle ouvre l’échancrure de tissu, elle fouille à l’intérieur, elle ...
    ... atteint mon string déjà mouillé des prémices de mon sperme. Elle le saisit délicatement, elle le soulève et l’éloigne comme elle peut, car je ne lui suis d’aucune aide. Elle met enfin au jour ma verge dont je trouve les dimensions impressionnantes, ainsi allongé. Excité par cette vision un peu inhabituelle de ma personne, je laisse libre cours à mes doigts et je les regarde aller et venir sur sa vulve. Peu à peu son string glisse pour bientôt disparaître, poussé par mes multiples allers-retours toujours plus appuyés et incités par le désir toujours plus puissant que j’ai de cette femme inconnue. Tout comme moi, elle se met à trembler et je vois, spectateur involontaire, les muscles de ses cuisses se crisper et se relâcher au rythme de mes assauts dont j’accélère volontairement la cadence. Elle tangue de l‘avant vers l’arrière, de la gauche vers la droite et je me demande si elle ne va pas venir s’écraser sur moi, broyant pour de bon mon membre qu’elle soigne à sa manière.
    
    Je la frotte comme une lampe magique dont l’huile fortement parfumée se répand. Je l’astique, je la fais reluire, je l’incendie, ses lèvres que je ne devine qu’imparfaitement, se remplissent de suc, se gorgent, s’engorgent même à n’en plus pouvoir. Je sens qu’elles s’affermissent de plus en plus, boursouflures de plus en plus tendues et dures. Ce n’est plus de la chair que je caresse, mais de minuscules blocs de pierre. Une pierre bizarre qui se couvre rapidement d’un liquide dont je ne connais pas la source. ...
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