1. Perversions


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Grandpecheur, Source: Hds

    ... hommes, le 3ème sexe et même les animaux, chiens et poneys inclus. Depuis qu'elle est à l'hospice elle passe le plus clair de son temps à tenter d'allumer les autres patients comme les aides soignants. Elle s'arrange toujours à laisser entrouvert son décolleté pour que quelqu'un tente d'apercevoir au bout de sa chair flasque et pendante, ses gros tétons cernés d'un aréole bistre. Ou, apparemment endormie sur un fauteuil, la robe de chambre s'est largement ouverte jusqu'en haut des cuisses, cuisses largement ouverte sur sa vieille fente fanée mais toujours active et gourmande d'après elle.
    
    Les personnes âgées ont souvent des petits bobos, des douleurs, et c'est notre devoir de nous en préoccuper. Éloïse, n'a jamais mal au dos, aux pieds, aux mains…. Mais elle a une grosseur lui semble t'il anormale au sein. « Mais si, je vous assure, tâtez… à pleine main… vous ne sentez rien de bizarre ? » Elle a aussi une hémorroïde qu'il faut enduire de pommade… « vous ne la voyez pas elle est profonde ! il faut enfoncer votre doigt plus loin ! ». Et son minou est sujet à de nombreuses démangeaisons qu'il convient de calmer de passant le doigt dessus ou dedans, voir d'apaiser en faisant couler un peu de salive dessus.
    
    Mais Éloïse ne se la joue pas « perso ». Si d'aventure une jeune infirmière se touche le sein par maladresse ou inadvertance, Éloïse s'inquiète aussitôt. « Qu'avez-vous ? une douleur ? Faites voir ça peut être dangereux de ne pas surveiller ! Si si j'insiste, montrez moi ...
    ... ! Et de sortir le jeune sein, le caresser, le malaxer et par gentillesse d'y apposer de petits bisous qui soignent… Et que dire si transpirant dans une culotte serrée la jeune fille a le malheur d'écarter subrepticement sa culotte ou si l'infirmier de service se remonte machinalement les coucougnettes d'un geste nonchalant. Éloïse est prête à vous aider, à vous examiner, à tâter pour s'assurer que tout va bien et aussi à vous complimenter, s'extasier et vous cajoler.
    
    Mais lorsque Éloïse vous sent amusé(e) par ses attouchements ou son exhibition, ses yeux se mettent à briller et entre les lèvres de la vieille femme jaillissent les mots les plus orduriers et les propositions les plus indécentes qui soient. Le conventionnel « petit grattement entre les cuisses » devient « j'ai la chagnasse en furie elle a besoin d'un bon broutage ». Le problème hémorroïdaire devient : « écarte mon trou du cul de salope et ramone-le avec ta grosse bite tendue ».
    
    Aussi le premier soir où, couchée, Éloïse nue dans son lit à cause de la chaleur, se plaignit de « petits gratouillis là.. non plus bas… au milieu » je ne me sentis pas le courage de refuser l'inspection. Penché sur son entrecuisses j'écartais complaisamment les lèvres de son vieux chat fané et m'aperçu que contrairement aux idées reçues la ménopause n'asséchait pas forcement les muqueuses. En fait, sous mes doigts ses lèvres laissaient sourdre un jus clair et abondant qui coulait jusqu'à son trou du cul béant.
    
    —- Heu.. envie de ...
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