1. Perversions


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Grandpecheur, Source: Hds

    ... se lève et s'abaisse avec force, des gémissements éclosent sur ses lèvres et une saveur tiède et piquante s'étale sur mon visage. Loin de m'en éloigner je plonge au plus profond de sa blessure pour me repaitre de la moindre goutte de son jus salé.
    
    Éperdu de reconnaissance je l'embrasse avec passion, léchant son visage, mordillant sa langue, l'aspirant, mangeant se lèvres et buvant sa salive chaude avec avidité. Souriante, les yeux mouillés, elle me fixe et garde la bouche ouverte, suppliante. Alors me positionnant au dessus d'elle je laisse couler un long filet de salive dans sa bouche. Ses yeux me disent « plus » et faisant remonter en moi un long crachat je lui offre celui-ci comme un présent qu'elle déglutit aussitôt.
    
    La retournant et calant un oreiller sous son ventre, j'écarte ses somptueuses fesses et met à nu son petit trou. Louise ne l'appelle pas ainsi, elle se complet à lui donner des noms sordides, le trou du cul étant le plus élégant. « J'ai envie que tu écartes mon trou à merde, que tu vérifies qu'il est propre et sinon que tu le laves avec ta langue, je suis une salope, quand je chie je ne peux m'essuyer alors ma merde s'étale sur mon cul et sèche sur mes poils ».
    
    Délires que tout cela puisque Louise est propre et lavée par les aides soignants après toute déjection. Mais cette vulgarité l'excite alors je joue le jeu. Je lui vrille le majeur dans son trou du cul, le ramone bien pour l'exister et lui donne son doigt à sucer en insistant sur le fait ...
    ... que cette grosse pute bouffe sa propre merdre. En fait lorsque j'y passe passionnément la langue je n'y détecte qu'un gout poivré sans aucun corps solide. Elle gémit sous ma langue qui la perfore et je deviens dur comme une barre de fer. Alors m'allongeant sur le dos je saisi Louise, la place au-dessus de moi et la laisse s'empaler la chatte brulante sur mon sexe dressé. La tenant aux hanches je me branle avec son corps avec vigueur, puis la posant à plat ventre sur un tabouret, la tête pendant dans le vide, je la pénètre brutalement en faisant claquer mon ventre contre ses fesses. La manipulant à mon rythme, mes doigts s'enfoncent dans sa chair tandis que je la pilonne jusqu'à ce que je me sente jaillir en elle.
    
    Éloïse
    
    Une autre de mes patiente s'appelle Éloïse, elle doit avoir fêté ses 80 ans voici bientôt une décennie. Aujourd'hui le corps desséché, les seins ballotant et flétris, les fesses flasques, son corps ne fait guère penser au sexe. Mais dans son visage ratatiné ses yeux brillent d'un air pervers et son sourire vicieux et en coin laisse imaginer à chaque instant qu'Éloïse a une pensée perverse. Et lorsqu'elle s'adresse à vous, l'imaginaire laisse place à une vérité crue.
    
    Éloïse aime raconter ses chaudes aventures de jeunesse, depuis qu'à 12 ans elle a offert sa fleur à son cousin âgé de 13 ans, jusqu'à son entrée en maison de repos. À l'entendre, entre ces 2 extrêmes elle a tout fait, tout essayé, à 2, 3, 4, 6 et beaucoup plus. Elle a aimé les femmes, les ...
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