1. COLLECTION ZONE ROUGE. Belle-maman (2/2)


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... putes discutant avec deux clients, l’un d’eux a suivi la jeune femme qui à cette époque se faisait appeler Lucretia, elle était lilloise, elle avait un mac qui l’avait placée là.
    
    Un jour, elle a disparu, la patronne nous a dit qu’elle avait été vendue à un autre mac et qu’il l’avait envoyé tapiner en Afrique.
    
    Comme nous étions trempés, madame Edwige nous a proposé d’enlever nos affaires pour les sécher sur les radiateurs, de mettre un peignoir, là encore, dans ces années-là, les filles étaient avec bas et jarretière et en déshabillé.
    
    Sans nous en rendre compte, nous venions de revêtir l’uniforme de la maison, moi peignoir bleu, Sonia, jaune.
    
    Les deux hommes nous ont offert le champagne, celui qui était avec ma copine, lui a parlé à l’oreille, la prise par la main, je l’ai vu monter à l’étage.
    
    Son copain m’a mis au parfum, aidé en cela par la patronne, j’ai compris que Sonia avait eu le toupet d’aller faire une passe, nous étions en francs en ce temps-là.
    
    J’étais jeune et déjà frustré par mon mari, par jeux, je te jure par jeu, je l’ai suivi, j’ai touché 200 francs, presque deux jours de travail à la clinique.
    
    Je me souviens lui avoir demandé de m’aider, c’était la première fois, j’ai appris à lui faire une pipe, avec Gustave, il me sautait dans la position du missionnaire, avec lui, levrette et autres positions du Kama-Sutra, j’ai vite fait de progresser.
    
    Il a rempli sa capote après qu’il m’eût fait jouir, nous sommes redescendus, Agnès cette salope, ...
    ... avait trouvé un autre client qui venait d’arriver, nous sommes restés quatre heures à jouer au chat et à la souris, j’ai fait six clients, 1 200 francs, presque 8 jours de travail à l’hosto sans les inconvénients des malades faisant sous eux.
    
    Quand nous avons remis nos affaires presque sèche, madame Edwige nous a fait une offre de revenir, elle cherchait des filles comme nous, sans aucun tabou sexuel.
    
    • Vous y être retournée le lendemain ?
    
    • J’ai mis plus de huit jours à me décider, chaque soir quand nous passions devant le bordel en sortant de la clinique, Agnès me disait 1 200, 2 400, 3 600, et elle ajoutait sans les bouchons, je touche sur la bouteille que nous venons de finir.
    
    Il faut que j’y retourne, je pense qu’il serait mal venu que je te demande de monter surtout qu’il faudrait payer 300 € à madame Edwige.
    
    • Tu te fais 300 par passe !
    
    • Non, la patronne en garde 100.
    
    • Alors les voilà, je veux passer un moment avec toi, je trouve que tu es bandante, dès que je t’ai vu chez toi, j’ai eu envie de toi.
    
    Tu as craqué, il y a presque vingt ans, j’ai craqué sur toi quand je suis venue pour que ta fille nous présente et que je suis sorti de la salle de bains, te montrant ma verge.
    
    • Dis-moi, que tu es comme tous les hommes, l’interdit est un motif d’envie pour toi, tu viens au bordel, tu trouves ta belle-mère faisant le métier, ça te fait bander.
    
    Sans oublier le fantasme de beaucoup d’hommes à baiser la mère et la fille.
    
    • Magalie, m’a parlé ...