1. COLLECTION ZONE ROUGE. Belle-maman (2/2)


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Je m’appelle Sacha, j’ai trente ans, allant au cinéma un soir où je m’ennuyais dans mon hôtel, j’ai le coup de foudre pour ma jolie voisine, elle s’appelle Magalie, je la demande en mariage.
    
    C’est au domicile de ses parents à Roubaix dans sa chambre de jeune fille que je la déflore.
    
    Ses parents l’ont envoyé dans une école suisse, je récupère une jolie fille, mais qui est nul au lit.
    
    Un soir, un copain professionnel me donne la carte d’un bar à pute, qui à ce qu’il m’explique a garder son caractère ancien contrairement au nouveau bar qui affiche leurs services avec des enseignes au néon qui vous pète à la figure.
    
    J’ai laissé la carte sur la table du restaurant, dans la nuit, je fais les poubelles de la cuisine, je la retrouve un peu tachée, mais très lisible.
    
    Le lendemain étant au même endroit deux jours, je craque, malgré ma fiancée à qui je voulais rester fidèle, j’arrive devant une bâtisse qui ressemble à une grosse maison bourgeoise plus qu’à un bordel.
    
    La patronne m’introduit, le bar est fortement éclairé, deux entraîneuses sont là, une jolie métisse et j’allais dire horreur, belle-maman, fourreau rouge sous les seins s’arrêtant très haut à ce que j’en vois quand elle descend de son tabouret, sur ses talons très hauts.
    
    Je manque de nous découvrir tellement la stupeur est grande, elle est censée être une infirmière de nuit dans une clinique privée près de Tournai.
    
    La métisse veut me prendre en main, je la remercie, mais jouant le jeu et surtout ...
    ... voulant en savoir plus, j’offre une bouteille de champagne à belle-maman, elle m’entraîne dans un salon particulier.
    
    • Sacha, au point où nous en sommes, tutoyons-nous, ici appelle-moi Armelle, c’est le nom que j’ai pris il y a dix-huit ans, tu vas me dire pourquoi tu vas voir des putes alors que j’ai vu que ma fille se laissait baiser.
    
    • Sans problème, belle... pardon, Armelle.
    
    • Je commence, j’ai accepté de suivre ma copine Agnès qui ici se fait appeler Lucia, après une petite annonce parlant d’une clinique privée de Tournai recherchant des infirmières certifiées.
    
    Dans ces années-là, la pénurie de professionnelle de santé faisait rage.
    
    Nous étions en équipe de jour lorsque nous avons été embauchés, un soir d’hiver, j’ai senti qu’une roue se dégonflait, il y avait ce parking devant cette maison, il pleuvait à seaux, le temps de voir le massacre, elle ou moi était dans l’incapacité de changer la roue.
    
    • Il est certain, même maintenant crevé ici ça doit rester une galère.
    
    • Par chance, il en faut dans la vie, une voiture a tourné et est venue se mettre à côté de nous.
    
    Deux hommes en sont descendus, ils nous ont changé la roue, nous allions les remercier quand l’un d’eux nous a dits que sous cet air austère, cette maison possédait un bar.
    
    Nous ignorons qu’à cette époque, les bars étaient déjà des bars à putes.
    
    C’est madame Edwige qui comme pour toi, nous a ouvert, le bar était le même qu’aujourd’hui, les lumières vives en moins.
    
    Il y avait trois ...
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