Une grande cuisinière
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
voyage,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
noculotte,
odeurs,
pied,
chaussures,
Oral
aliments,
occasion,
hsoumisaf,
Auteur: Lord Viking, Source: Revebebe
... table, en tailleur, la petite serviette cachant tant bien que mal mes parties intime. La petite table est placée derrière le bar qui sépare la cuisine de la salle, à proximité immédiate de trois hauts tabourets, munis de barres circulaires repose-pied.
Mon hôtesse prend mon assiette pour me la ramener, quelques secondes plus tard, pleine de pâtes (des tortis) en m’adressant quelques mots incompréhensibles. Je bredouille un petit « Thank you very much ».
Elle s’installe ensuite sur le grand tabouret, juste devant ma petite table. Ma tête est à quelques centimètres seulement de ses genoux. En levant à peine les yeux, je pourrais presque voir son entrejambe. Porte-t-elle une culotte ?
Cette pensée me fait rougir, je baisse immédiatement la tête, et me concentre sur mon assiette de tortis. Je commence à les ingurgiter goulûment. Les pâtes sont fades, très fades même, et un peu trop cuites. Aucune sauce, pas de beurre, ni crème pour les agrémenter. Mais j’ai faim, donc je les mange. Mon hôtesse se met soudain à parler tout haut. Je sursaute. Je lève la tête vers son visage : elle a son téléphone à l’oreille, visiblement en communication avec quelqu’un.
Absorbée dans sa conversation et m’ignorant complètement, elle se tourne vers la droite, accoudée au bar, et passe sa cheville gauche sous sa cuisse droite, dévoilant la semelle et le talon usé de son escarpin, à quelques petits centimètres seulement de mon visage, et au-dessus de mon assiette. Cette vision, loin de me ...
... déplaire, me procure une certaine excitation. Et ce n’est que le début… Pendant qu’elle continue sa conversation, elle entame des mouvements de balancier et de rotation avec sa cheville. L’escarpin danse maintenant, juste sous mes yeux. J’ai toute les peines du monde à me concentrer sur mon repas et surtout à contenir l’érection qui se profile sous ma petite serviette de bain.
Mon hôtesse continue de m’ignorer, elle regarde dans le vide, en continuant sa conversation téléphonique. Ses mouvements de pieds vont au rythme de ses paroles, tantôt lents, tantôt plus rapides. Au fur et à mesure, son pied sort de la chaussure, au niveau du talon. Je peux maintenant voir la plante douce de ses pieds, légèrement plus colorée sur les points d’appui. L’escarpin se balance maintenant en équilibre sur ses orteils, derniers éléments de son pied qui me sont encore inconnus. Je suis comme hypnotisé par ces mouvements pendulaires. Un parfum subtil, assez corsé, mélange de vieux cuir et de transpiration, atteint mes narines. Je ne peux désormais plus contenir mon érection, et j’ai du mal à déglutir…
Un mouvement un peu plus brusque de sa jambe fait presque chuter l’escarpin, qui ne se retrouve plus pendu que par ses deux gros orteils, toujours juste au-dessus de mes pâtes, et pour mon plus grand plaisir devant mon nez. Les effluves sont maintenant bien nets, et je trouve que ça compense tout à fait la fadeur des tortis. Je me délecte comme je peux de la vision de la plante de son pied, que ...