Une grande cuisinière
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
voyage,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
noculotte,
odeurs,
pied,
chaussures,
Oral
aliments,
occasion,
hsoumisaf,
Auteur: Lord Viking, Source: Revebebe
Mais qu’est-ce qui m’a pris d’avoir voulu aider cette fille ?
J’avais enfin pu me payer des vacances à l’étranger, je comptais bien en profiter, après près de deux ans de travail acharné pour mes études… Au lieu de ça, je me retrouve là, sur le bord d’une route départementale déserte, humide et boueuse, sous la pluie, les vêtements déchirés et couverts de boue et le corps contusionné et plein d’hématomes…
J’ai voulu aider cette fille. Je ne la connaissais même pas. Elle semblait en difficulté, avec deux hommes qui la brutalisaient. J’ai voulu m’interposer, et j’ai dû me prendre un mauvais coup sur la tête. Tout est devenu noir…
À mon réveil, j’étais dans un fossé, plein d’eau et de boue. Je me suis relevé avec difficultés, le corps endolori. J’ai constaté que je n’avais plus mes papiers. À perte de vue, aucune habitation ou autre trace de vie humaine… Je me décidai à longer le fossé dans lequel on m’avait laissé. Au bout de longues et douloureuses minutes de marche sous la pluie, j’atteignis enfin la route, le long de laquelle je marche maintenant.
Voilà maintenant au moins une heure que je marche et la nuit commence à tomber. Je n’ai compté que trois véhicules qui m’ont croisé ou dépassé. Aucun ne s’est arrêté, malgré mes grands gestes.
Je continue donc à marcher, dans la pénombre, sans savoir vraiment où je me dirige, je commence à désespérer, quand soudain le halo blancs des phares d’une voiture apparaît dans mon dos. Je me retourne et fais des grands ...
... signes, aveuglé par la puissance des phares de la voiture. Un mauvais pressentiment me parcours… Je m’agite de plus en plus, mais en vain, la voiture ne semble pas ralentir… Je me décide à me jeter sur le bord de la route. Elle passe à quelques centimètres de moi, en m’aspergeant d’eau et de boue.
Je vois maintenant ses feux. Elle s’est arrêtée et semble attendre, à quelques dizaines de mètres.
En m’approchant, je constate qu’il s’agit d’une grosse berline, de couleur sombre, peut-être une Audi A6. Je continue à avancer, jusqu’à me retrouver à la hauteur de la portière conducteur. La vitre s’ouvre de quelques centimètres, une voix féminine se fait entendre. Elle parle un langage que je ne comprends pas. Je tente un peu d’anglais « Please, help me ! », mais mon interlocutrice continue à me parler dans sa langue. Elle semble s’énerver, puis enfin s’arrête. Je reste interdit, sans savoir que faire… Elle m’ouvre enfin la portière côté passager. Je comprends que je peux enfin monter dans la voiture. Je fais le tour par l’arrière, et, les jambes tremblantes, m’assois sur le siège en cuir. À la lumière du plafonnier, je distingue enfin mon interlocutrice. Il s’agit d’une femme brune, d’une quarantaine d’années, peut-être un peu plus. Elle est habillée de façon très élégante, assez stricte, avec un tailleur sombre, que j’imagine fait sur mesure, qui s’arrête à mi-cuisse. L’imposante console centrale m’empêche de voir plus bas.
Elle me regarde avec insistance, jusqu’à ce que je ...