1. Les jeunes hommes


    Datte: 19/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Clar, Source: Hds

    ... était passé au cabinet un soir, avait jeté quelques billets sur le bureau. Il portait un bleu de travail. Il me regarda avec un sourire pervers. « Tu vas me rendre la monnaie. En nature. Il tira sur sa fermeture éclair qu’il abaissa entièrement, et dégagea ses épaules, faisant glisser la combinaison. En dehors d’un marcel blanc, il était nu sous son bleu, et sa verge se redressait déjà. Il se pencha en avant, saisit le bas de mon pull et le fit passer par-dessus ma tête. Mon soutien-gorge rejoignit le pull sur le bureau. Il empoigna mes seins sans ménagement, déclenchant un mélange de douleur et de plaisir. Je sentais que mon sexe devenait humide. Je me levais, et fis glisser mon pantalon et ma culotte. Comme à chaque fois, le « miracle » se produisit, je mouillais comme une folle, tous les sens en alerte, mon corps réclamant la joute animale et la délivrance.
    
    Il me poussa sur le bureau, écartant les papiers et le clavier de l’ordinateur, m’allongea sur le dos, releva mes jambes et m’enfourcha d’un trait. Sa verge était tendue, grosse, longue et épaisse, mais comme à chaque fois, il trouvait son chemin sans difficulté. Il me laboura sans fioriture, s’enfonçant au fond de moi, me fixant dans les yeux pour guetter ma jouissance. Elle vint brutalement. Il accéléra, se retira et éjacula sur mon torse, les jets de foutre coulant le long de mes seins. Il se rhabilla et me gratifia d’un « Salut poupée. A la prochaine ».
    
    Ainsi est ma relation avec cet homme. Du sexe, ...
    ... uniquement du sexe, mais qui me transporte à chaque fois. C’est une machine à jouir….
    
    Vendredi, à 19 h 45, Judith vient me chercher avec sa voiture. Pour l’occasion, elle a mis une jupe noire très courte, des bas de couleur chair dont on voit distinctement limite, et un chemisier blanc, dans la transparence duquel on distingue nettement la pointe de ses seins. « Salut Clo. Heureusement, Christophe était déjà couché, il n’a pas vu comment je m’habillais, sinon il aurait eu une attaque. ». Pour ma part, j’avais opté pour une simple chemise blanche et légère, m’arrivant au haut des cuisses, généreusement ouverte sur mes seins nus, et dont l’absence de fermeture des deux boutons du bas laissait voir mon sexe encadré par un porte-jarretelle et des bas noirs. « Salut Judith. Ne me regarde pas comme ça, je me suis habillée pour baiser. Je suis déjà trempée. J’ai envie de sa bite. J’ai hâte ».
    
    Peu avant vingt heures, nous arrivons chez Rocier. Nous garons la voiture dans la cour. Le portail électrique se referme derrière nous. Connaissant la maison, nous rentrons et arrivons dans le salon. Une surprise nous attend. Rocier est debout, un verre à la main, torse nu. Mais il n’est pas seul. Il y a là ses ouvriers : Karim, Frédéric, un grand brun tatoué, âgé d’une trentaine d’années, Mourad, un algérien massif, Sylla, un camerounais d’une cinquantaine d’années et Minh, le nouvel apprenti vietnamien. Tous nous dévisagent, nous scrutant de haut en bas avec des regards lubriques, pervers et ...
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