1. Les jeunes hommes


    Datte: 19/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Clar, Source: Hds

    Les jeunes hommes
    
    Deux mois s’étaient écoulés depuis cette soirée d’automne d’inauguration de la maison des associations. Au cours de cette soirée, Judith avait été entrainée, avec son amie Clotilde, chez l’artisan Jacques Rocier, un quinquagénaire rustre et sans éducation, mais possédant un sexe hors du commun et un coup de rein dévastateur. Après avoir honoré les deux amies, Rocier les avait déposées sans un mot sur le parking municipal. La jouissance de Judith avait été brutale et intense, et à chaque fois qu’elle y repensait, elle ressentait un mélange de honte et de désir.
    
    Ce jour-là, regardant par-dessus son comptoir, elle vit Roncier s’entretenir avec son mari. Celui-ci était boulanger, et se couchait tôt pour se relever vers trois heures. Les soirées de Judith étaient ainsi souvent un peu tristes, passées devant la télévision. Les deux hommes se séparèrent, et Roncier, devenu client de la boulangerie, entra dans la boutique, vide à ce moment présent. « Salut chérie, bon, tu peux commencer à te préparer, je t’invite pour une grande soirée baise avec ta copine. Putain, ce que vous m’excitez toutes les deux, t’as pas idée. Et tu connais la règle, pas de culotte quand on vient voir le beau Jacques. Ah, et j’ai l’accord de ton mari. Vendredi 20 heures chez moi. Et t’inquiète, ton mari est d’accord. Et soyez à l’heure, je te laisse prévenir ta bonne copine. J’en bande déjà. ». Joignant le geste à la parole, après avoir vérifié que personne ne pouvait le voir, il ...
    ... déboutonna son jean et le tira vers le bas, dévoilant son sexe en semi-érection. Cette vision déclencha un frisson chez la jeune femme. « Allez salut ! et lave toi le cul ! ».
    
    Le soir, le mari de Judith lui raconta qu’il avait rencontré Jacques Roncier, qui lui avait demandé s’il pouvait inviter sa femme à une réunion de projet de création d’une association de fleurissement de la ville, association qui avait bien besoin d’une touche féminine. D’ailleurs Clotilde, l’infirmière, avait déjà répondu favorablement, les deux femmes iraient ensemble. « Ça te fera du bien de sortir, de t’amuser un peu. Je sais que ce n’est pas drôle pour toi avec mes horaires. Et comme jeudi on a une réunion régionale du syndicat, je crois que je me coucherai encore plus tôt ».
    
    Judith était atterrée par la manigance de Rocier qui avait raconté cet énorme baratin à son mari qui n’y avait vu que du feu. Le lendemain matin, profitant d’un moment de calme, laissant la surveillance de la boulangerie à son apprentie, elle sortit et appela Clotilde pour la mettre au courant du projet.
    
    J’étais en train de me laver les mains après avoir fait la toilette de la vieille Jeanne quand mon téléphone sonna. Le nom de Judith s’afficha. « Clo, je ne te dérange pas ? » « Non, qu’est-ce qui se passe ? ». C’est ainsi que j’appris l’étrange invitation, le faux prétexte. J’avais croisé Rocier une fois depuis la fameuse soirée, quand il était venu régler ses derniers soins qu’il me devait depuis un certain temps. Il ...
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